mar.
09
janv.
2018
" La vérité, dit le Zen, n'a rien à voir avec les autorités, la tradition ou le passé. C'est une connaissance radicale et personnelle, une expérience individuelle. Il appartient à chacun de la découvrir. La connaissance primordiale est sûre. La quête de la vérité personnelle est une très grande insécurité. Personne ne peut vous garantir quoique ce soit. Si vous me demander des certifications, je vous répondrai que seuls les dangers sont certains. Je peux vous assurer que vous pouvez à tout moment vous égarer de votre route et que vous avez très peu de chances d'arriver au but. Mais une chose est sûre : le simple fait de chercher votre propre vérité vous fait grandir. Je peux vous garantir une croissance intérieure.
Il faudra affronter les dangers et faire des sacrifices, avancer chaque jour vers un terrain inconnu et imprévisible, et ce, sans carte routière, sans guide. Oui, ce sera laborieux et vous vous perdrez souvent, mais c'est la seule façon de mûrir. C'est en traversant l'insécurité que l'on grandit. Seul celui qui fait face aux défis de l'incertain apprend sa vérité intérieure.
Chaque fois que nous accédons à quelque chose de neuf et d'inconnu, avec la confiance d'un enfant innocent, ouvert et vulnérable, les moindres choses de la vie peuvent devenir les plus grandes aventures."
Osho
dim.
17
déc.
2017
« L’Amour est une ouverture dans un monde sans aucune limite, dans un monde qui ne se termine nulle part. L’Amour commence, mais ne se termine jamais. Il a un commencement mais pas de fin.
Souvenez-vous d’une chose : généralement, le mental interfère et ne permet pas à l’Amour son infinitude et son espace. Si vous aimez réellement une personne, vous lui donnez un espace infini. Votre Être lui-même est juste un espace pour qu’il puisse grandir, pour grandir avec lui. Le mental interfère et essaie de posséder la personne. Alors, l’Amour est détruit. Le mental est très avide. Le mental, c’est l’avidité. Il est extrêmement poison. Ainsi, si l’on veut s’engager dans le monde de l’Amour, il faut laisser tomber le mental. On doit vivre sans aucune interférence du mental.
(…) Méditer n’est rien d’autre que créer une situation dans laquelle le mental a de moins en moins de choses à faire. Vous n’avez aucune peur, vous êtes si aimant, vous êtes si paisible ; vous êtes tellement content avec ce qui se passe que le mental n’a plus rien à dire. Alors, peu à peu, le mental se retire et une distance de plus en plus grande se crée. Un jour, le mental se retire complètement alors vous devenez un univers. Vous n’êtes plus confiné à votre corps, vous n’êtes plus confiné à quoi que ce soit ; vous êtes un pur espace. L’Amour est un chemin vers ce pur espace (...)
L’Amour est un état de conscience naturel. Ce n’est ni facile, ni difficile. Ces mots ne s’y appliquent absolument pas. Ce n’est pas un effort, c’est pourquoi cela ne peut pas être facile et cela ne peut pas être difficile non plus. C’est comme de respirer ! C’est comme le battement de votre Cœur, c’est comme le sang qui circule dans votre corps. L’Amour est votre Être même… mais cet amour est presque devenu impossible. La société ne l’autorise pas. La société vous conditionne de telle manière que l’Amour devient impossible et que la haine devient la seule chose possible. Alors, la haine est facile et l’amour est non seulement difficile, mais encore impossible.
L’homme a été dénaturé. L’homme ne peut pas être réduit à l’esclavage si l’on ne commence pas par le déformer. Depuis des siècles, les prêtres et les politiciens conspirent constamment. Ils ont réduits l’humanité à une masse d’esclaves. Ils détruisent toute possibilité de rébellion chez l’homme. Et l’amour est une rébellion, car l’amour n’écoute que le cœur et ne se soucie pas le moins du monde d’autre chose.
L’Amour est dangereux car il fait de vous un individu. Et l’état, l’église… ne veulent pas des individus, pas du tout. Ils ne veulent pas des êtres humains ; ils veulent des moutons. Ils veulent des gens qui ressemblent seulement à des êtres humains. Mais l’âme a été à tel point endommagée, que cela semble quasiment irréparable. Et la meilleure façon de détruire l’homme c’est de détruire la spontanéité de son amour. Si l’homme connaît l’amour, il ne peut pas y avoir de nation. Les nations ne peuvent exister qu’à cause de la haine : les Indiens haïssent les Pakistanais ; les Pakistanais haïssent les Indiens … Ce n’est qu’ainsi que ces deux pays peuvent exister.
Si l’Amour apparaît, alors les frontières disparaîtront. Si l’Amour apparaît, qui sera un chrétien, qui sera un juif ? Si l’Amour apparaît, qui ira au temple ? Pourquoi ? Parce que, quand l’amour manque, vous recherchez Dieu. Dieu n’est rien d’autre que votre substitut de votre manque d’Amour. Parce que vous ne connaissez pas la béatitude, la paix, l’extase, vous recherchez Dieu_ sinon qui s’en soucierait ? Qui s’en préoccuperait ? Si votre vie est une danse, Dieu est déjà atteint. Le Cœur est rempli par Dieu. Il n’y a aucun besoin de quérir ; il n’ y a aucun besoin de prier, il n’y a aucun besoin de se rendre au temple, auprès d’un prêtre. (…) »
« L’Amour donne du courage. L’Amour ôte toutes les peurs, et les oppresseurs dépendent de vos peurs. Ils créent en vous de la peur_ mille et une formes de peur. Vous êtes entouré de peur. Toute votre psychologie est empreinte de peur. Tout au fond de vous, vous tremblez. Ce n’est qu’en surface que vous maintenez une certaine façade. À l’intérieur il y a des couches et des couches de peur.
Un homme effrayé peut seulement haïr_ la haine est une conséquence naturelle de la peur. Un homme effrayé est également envahi par la colère : il est davantage contre la vie que pour la vie. La mort semble être un état de repos pour l’homme effrayé. Cet homme est suicidaire ; il nie la vie. Pour lui la vie semble dangereuse, parce que vivre signifie qu’il faut aimer. Comment pouvez-vous vivre ? Tout comme le corps a besoin de respirer pour vivre, l’âme a besoin d’amour pour vivre. Et l’Amour est totalement empoisonné. En empoisonnant ou en polluant votre énergie d’Amour, ils ont crées une division en vous ; ils ont crée un ennemi en vous ; ils vous ont coupé en deux. Ils ont provoqué une guerre civile : vous êtes toujours en conflit. Et dans le conflit, votre énergie se dissipe. C’est pour cela que votre vie n’a pas de zeste, de gaieté ; elle ne déborde pas d’énergie ; elle est terne, insipide, sans intelligence.
L’Amour aiguise l’intelligence, la peur l’émousse. Qui souhaite que vous soyez intelligent ? Pas ceux qui sont au pouvoir. Comment pourraient-ils le souhaiter ? Car si vous êtes intelligents vous percevrez toute leur stratégie, leurs jeux. Ils veulent que vous soyez stupide, médiocre. En ce qui concerne votre travail, ils veulent certainement que vous soyez efficace, mais pas intelligent. C’est pourquoi l’humanité vit à son potentiel minimum, au plus bas. Les chercheurs scientifiques disent que, de toute sa vie, l’homme ordinaire n’utilise que 5% de son potentiel d’intelligence. Seulement 5% !! Que dire de l’homme extraordinaire ? Que dire d’un Albert Einstein, d’un Mozart, d’un Beethoven ? Les chercheurs disent que même ceux qui ont beaucoup de talent n’en utilisent pas plus de 10% Et ceux qu’on qualifie de génie n’en utilisent que 15% !!
Pensez à un monde où chacun utiliserait les 100% de son potentiel … alors les Dieux seraient jaloux de la Terre. Ils auraient envie de naître sur Terre. Et la Terre serait un Paradis, un super Paradis. En cet instant c’est un enfer. Si on laisse un homme seul, sans l’empoisonner, alors l’Amour sera simple, très simple. Il n’y aura aucun problème. Il sera comme de l’eau qui coule, comme de la vapeur qui s’élève, des arbres qui fleurissent ou des oiseaux qui chantent. Il sera si naturel et spontané !!
Mais on ne laisse pas l’homme tranquille. Quand l’enfant naît, les oppresseurs s’apprêtent déjà à lui sauter dessus, à écraser son énergie, à le déformer à tel point, à le déformer si profondément qu’il ne deviendra jamais conscient que sa vie est fausse, que c’est une pseudo-vie, qu’il ne vit pas ce qu’il était censé vivre, ce pour quoi il est né ; qu’il vit quelque chose d’artificiel, de plastique, que ce n’est pas vraie âme. C’est pourquoi des millions de gens sont dans une telle misère : parce qu’ils ressentent quelque part qu’on les a dénaturés, qu’ils ne sont pas vraiment eux-mêmes, que, fondamentalement, quelque chose est allé de travers…
L’Amour est simple si l’on permet à l’enfant de grandir, si on l’aide à grandir de façon naturelle. Si on aide l’enfant à être en harmonie avec la nature et en harmonie avec lui-même, s’il est soutenu de toutes les manières possibles, nourri, encouragé à être lui-même, à être naturel, à être une lumière pour lui-même. Alors l’amour est simple. On est simplement aimant !
La haine sera quasiment impossible, parce qu’avant de pouvoir haïr quelqu’un d’autre, vous devrez d’abord créer ce poison en vous. Vous ne pouvez donner quelque chose à quelqu’un que si vous l’avez. Vous ne pouvez haïr que si vous êtes pleins de haine. Et être haineux, c’est souffrir l’enfer. Être haineux, c’est être en feu. Être haineux signifie que vous vous blessez d’abord vous-même. Avant de pouvoir blesser quelqu’un d’autre, vous devez vous blesser vous-même. L’autre ne sera peut-être pas blessé, cela dépendra de lui. Mais une chose est absolument certaine : c’est qu’avant de pouvoir haïr, vous devez traverser de longues souffrances, des misères. L’autre n’acceptera peut-être pas votre haine : peut-être qu’il la rejettera. L’autre sera peut-être un Bouddha : il en rira tout simplement. Il pourra vous pardonner, ne pas réagir. Vous ne pouvez pas le blesser s’il n’est pas disposé à réagir. Si vous ne parvenez pas à le perturber, que pouvez-vous faire ? Vous vous sentirez impuissant devant lui. L’autre n’est donc pas nécessairement blessé. Mais une chose est absolument certaine, c’est que si vous haïssez quelqu’un, vous devez d’abord blesser votre propre âme de bien des façons. Il vous faut être plein de poison pour pouvoir en déverser sur les autres. La haine n’est pas naturelle. L’Amour est un état de santé. La haine est un état maladif. Tout comme la maladie n’est pas naturelle. Cela n’arrive que lorsque vous perdez contact avec la nature, quand vous n’êtes plus en harmonie avec l’existence, quand vous n’êtes plus en harmonie avec votre être, avec votre cœur le plus intime. Alors vous êtes malade_ psychologiquement, spirituellement malade. La haine n’est qu’un symbole de maladie et l’amour, un symbole de santé, de totalité, de sainteté.
L’Amour devrait être une chose des plus naturelles, mais il ne l’est pas. Au contraire, il est devenu la chose la plus difficile_ une chose presque impossible. La haine est devenue facile. Vous y êtes entraîné, vous y êtes préparé. Etre un hindou c’est haïr les musulmans, les chrétiens, les juifs. Être un chrétien c’est haïr les autres religions. Être un nationaliste, c’est haïr les autres nations. Vous ne connaissez qu’une façon d’aimer, c’est de haïr les autres. Vous ne pouvez exprimer votre Amour pour votre pays qu’en haïssant les autres pays et vous ne pouvez exprimer votre Amour pour votre église qu’en haïssant les autres Églises. Vous êtes dans le pétrin. Ces soi-disant ne cessent de parler d’Amour et tout ce qu’elles font, c’est de créer de plus en plus de haine dans le Monde. Les chrétiens parlent de l’Amour et ils ont provoqué des guerres, des croisades. Les musulmans parlent de l’Amour, ils ont provoqué des Jihads, les guerres religieuses. Les hindous parlent de l’Amour, mais vous pouvez consulter leurs écritures : elles sont remplis de haine, elles haïssent les autres religions. Et nous acceptons toutes ces idioties ! Et nous acceptons cela sans aucune résistance, parce qu’on nous a conditionné à l’accepter, on nous a enseigné que les choses étaient ainsi. Alors vous ne cessez de renier votre propre nature. L’Amour a été empoisonné mais il n’est pas détruit. Le poison peut être rejeté, évacué de votre système_ vous pouvez vous nettoyer. Vous pouvez « vomir » tout ce que la société vous a imposé. Vous pouvez laisser tomber toutes vos croyances et tous vos conditionnements. Vous pouvez être libre. La société ne peut pas vous maintenir éternellement en esclavage si vous décidez d’être libre.
Il est temps de laisser tomber tous les vieux modèles et de commencer une nouvelle façon de vivre, une vie naturelle, non répressive ; une vie qui ne soit pas faite de renonciation, mais de réjouissances. La haine sera de moins en moins possible. La haine est le pôle opposé de l’amour, au sens où la maladie est l’opposé de la santé. Mais vous n’avez pas besoin de choisir la maladie. La maladie a quelques avantages que la santé ne peut pas avoir_ ne vous attachez pas à ces avantages. La haine a également quelques avantages que l’amour ne peut pas avoir. Vous devez être très attentif. La personne malade obtient la sympathie de tout le monde : personne ne la blesse. On fait attention à ce qu’on lui dit, elle est tellement malade ! Elle reste le centre d’attention de tout le monde, de la famille, des amis. Elle devient la personne centrale, elle devient importante. (…)
Quand vous haïssez, l’égo est comblé. L’égo ne peut exister que s’il hait, parce qu’en haïssant vous vous sentez supérieur ; en haïssant, vous trouvez une certaine identité. Dans l’amour, l’égo doit disparaître. Dans l’Amour, vous n’êtes plus séparé : l’Amour vous aide à vous « dissoudre ». C’est une rencontre, une fusion. Si vous êtes trop attaché à l’égo, alors la haine est facile et l’Amour, très difficile. Soyez alerte, attentif. La haine est l’ombre de l’égo. L’Amour demande du courage. Il demande un grand courage, parce qu’il demande le sacrifice de l’égo. Seuls ceux qui sont prêts à ne devenir personne sont capables d’aimer. Seuls ceux qui sont capables de devenir rien, totalement vides d’eux-mêmes, sont capables de recevoir le cadeau de l’Amour de l’au-delà. »
Osho « Le Courage »
sam.
16
déc.
2017
" Qu'on soit jeune, en pleine maturité ou d'un âge avancé, on a tous un corps de chair et d'os, de sang et de toutes sortes d'autres substances — un organisme complexe capable d'une multitude de sensations. On dispose également de la parole, cette capacité de parler et de communiquer au moyen de sons et de mots. Enfin, on est aussi doué de ce créateur de nos pensées et de nos sentiments, bons ou mauvais, qu'on appelle l'esprit. En ce qui nous concerne actuellement, le corps, la parole et l'esprit sont des réalités tangibles dont on fait l'expérience quotidiennement.
Le corps est l'instrument de notre activité, et il s'exprime par le mouvement. La parole produit les sons et les mots qui véhiculent ce qu'on veut exprimer. Quant à l'esprit, c'est lui qui anime les deux autres; il est la source de tout ce qu'on porte en soi de bon et de mauvais. Le corps et la parole sont un peu les pantins de l'esprit. Logiquement, cela voudrait dire qu'on peut leur faire faire ce qu'on veut, au gré de ses désirs. En fait, ça ne se passe pas du tout comme cela: on a tellement pris l'habitude de manipuler les gens et les événements qu'on a presque oublié les ficelles qui reliaient le corps et la parole à l'esprit, en nous-mêmes. Si bien qu'elles se sont distendues, et que le pantin ne répond plus très bien. On sent bien qu'il y a quelque chose qui cloche, on n'est pas satisfait du fonctionnement de la marionnette. On se sent frustré.
Idéalement, le corps devrait fonctionner en harmonie avec l'esprit, sans qu'il y ait de clivage entre eux. Mais, en réalité, si on se laisse aller à suivre les penchants les plus élémentaires de son corps, on risque de tomber dans une sorte de matérialisme axé sur la sensualité, dont il sera très difficile de s'extirper. Ce risque existe pour tout le monde, les faibles comme les forts, et il signifie la perte de sa liberté. Pour éviter un tel écueil, on doit retrouver l'usage des ficelles de la marionnette, et apprendre à la manipuler plus intelligemment, d'une manière qui corresponde mieux à nos aspirations réelles. A l'inverse, il ne faudrait pas tomber dans la répression systématique et aveugle de ses besoins physiques, car ils sont l'expression d'une certaine sagesse instinctive du corps. On peut apprendre à faire la différence entre ces messages naturels et utiles, et les caprices de nos sens.
Notre corps est un puissant moyen de communication. Si on voit arriver un chien et qu'on tend la main, l'animal s'approchera, s'attendant à ce qu'on le caresse ou qu'on lui donne quelque chose à manger. Si, au contraire, on avait levé la main quand il est arrivé, il est probable que le chien aurait rebroussé chemin, de peur qu'on ne lui fasse du mal. De même, le moindre de nos gestes affecte ceux qui nous entourent — et la même chose est vraie de ce que l'on peut dire ou penser. Tout ce qui émane de nous constitue une sorte de signal pour les autres. Il suffit de regarder un peu autour de soi pour s'en rendre compte. Quelque chose d'aussi simple que notre démarche, par exemple, véhicule un ensemble de signaux aux autres, que ce soit de façon délibérée ou inconsciente de notre part. Quelqu'un qui a du mal à marcher donne à penser qu'il a des rhumatismes ou qu'il a eu un accident à un moment ou à un autre de sa vie. Si l'on voit passer une femme - ou un homme - à la démarche élégante, on aura tendance à trouver ça sexy et à y lire une invite personnelle, alors que le passant ignore vraisemblablement tout de cette interprétation de ses mouvements. C'est pourquoi il est nécessaire d'être attentif à ses mouvements et à ses attitudes corporelles si l'on veut que les autres perçoivent nos bonnes intentions à leur égard. II faut rester vigilant, sachant que chaque geste affecte ceux avec qui l'on se trouve, et peut susciter des réactions de leur part.
Autant qu'à ses gestes, il faut faire attention à ses paroles. On doit toujours être très vigilant, tant par rapport à ce qu'on dit qu'à la manière de le dire. Le ton de la voix importe autant que le choix des mots. Des choses gentilles dites sur un ton sympathique auront un effet encourageant et réconfortant. On peut même soulager un peu quelqu'un qui souffre beaucoup si l'on sait trouver les mots qu'il faut pour le rassurer, ou grâce au pouvoir thérapeutique d'une prière ou d'un mantra. Autant que ce qu'on dit, c'est la façon de le dire qui est importante.
Derrière chacun de nos actes et chacune de nos paroles, il y a l'esprit. Peu importe de savoir où il se trouve - les uns le localisent dans le cerveau, les autres ailleurs. Là n'est pas la question pour l'instant. L'important, c'est de reconnaître que notre esprit est la source de tout ce qu'on peut dire ou faire. Il est capital de comprendre cela car, si l'on veut progresser et améliorer la qualité de ses paroles et de ses actes, il faudra bien remonter à la source et s'occuper de son esprit, même si celui-ci est dépourvu de forme matérielle et de localisation physique - ses effets ne s'en font pas moins sentir concrètement.
S'il est relativement facile de prendre conscience des manifestations les plus évidentes du machiavélisme de notre coquin d'esprit, il est beaucoup plus délicat de se garder de ses manœuvres les plus subtiles. Quand on regarde un film plein de violence à la télévision, cela peut sembler un passe-temps anodin, mais si l'esprit s'identifie au spectacle de tortures et de meurtres qui lui est présenté, notre tendance à la cruauté risque d'en être renforcée, à notre insu.
Il est probable que, jusqu'à présent, nos activités et nos paroles ont pour la plupart été inspirées par un esprit égoïste et égocentrique devenu d'autant plus fort et puissant qu'il n'a rencontré aucune opposition de notre part: qu'on ne l'ait pas voulu ou qu'on ne l'ait pas pu. On est peut-être pas encore très convaincu actuellement de son existence, mais un jour ou l'autre il faudra bien se rendre à l'évidence, aller débusquer ce dictateur et se confronter à lui. Il faudra l'assumer et apprendre à le gérer tel qu'il se présentera à nous. On pourra lui dire: «Eh toi ! Ça fait trop longtemps que tu me domines, que tu conditionnes mon corps et mes paroles. Tu m'as fait assez de tort et de mal. Maintenant, c'est moi qui vais te dompter!» On ne fera aucun réel progrès tant qu'on n'aura pas renoncé à son ego ou qu'on ne l'aura pas transformé. Cette tâche accomplie, en revanche, les choses se mettront à bouger dans le bon sens. La méditation peut contribuer à ce processus en nous donnant le recul nécessaire pour y voir plus clair. En méditant, on commencera à comprendre ce qu'est l'esprit et comment il fonctionne, tant en lui-même qu'à travers ses moyens d'expression que sont le corps et la parole.
Jusqu'à présent, nous avons envisagé le corps, la parole et l'esprit séparément. En réalité, ils sont évidemment interdépendants et le voyage spirituel n'aura pas lieu s'ils n'avancent pas tous les trois ensemble. Il faudra donc travailler simultanément à trois niveaux, s'efforçant de gommer tout ce qui peut avoir un effet négatif ou nocif, et au contraire d'augmenter tout ce qui peut être positif ou bénéfique pour soi et pour les autres. C'est la compassion qui assurera la coordination du corps, de la parole et de l'esprit vers un but commun. Elle leur servira de moteur et unifiera leurs dynamiques, de sorte que corps, parole et esprit agiront et évolueront toujours en harmonie, à tous les niveaux.
Les exercices présentés dans la deuxième partie de ce livre sont destinés à donner une base pratique à ce travail. Quand on aura progressé dans la purification du corps, de la parole et de l'esprit, on pourra peut-être aller un peu plus loin, et se rendre compte qu'ils sont en réalité dépourvus de substance propre et d'existence indépendante. On comprendra que le corps est comparable à un arc-en-ciel, la parole à un écho, et l'esprit à une image reflétée dans l'eau. Mais il faudra bien sûr pas mal travailler avant d'en arriver là... "
Par Arya Akong Tulku Rinpoché
Source: L'Art de dresser le tigre intérieur - Une thérapie pour vivre au quotidien (Arya Akong Tulku Rinpoché) - Editions: SAND et http://www.centre-equilibre.com/
Notes:
Akong Tulku Rinpoché est né en 1939 près de Riwoché dans la région du Kham au Tibet. Il a été reconnu comme la réincarnation du 1er Akong, l'abbé du monastère de Dolma Lhakang (à Chamdo) par le 16e Karmapa. Il passa ses 20 premières années à la tête du monastère de Dolma Lhakang. Il y reçut de Sechen Kongtrul Rinpoché la transmission des enseignements des lignées Kagyu et Nyingma et de docteur en médecine tibétaine traditionnelle. Il poursuivit sa formation spirituelle sous la supervision du 16e Karmapa, qui lui décerna l'autorité d'enseigner la médecine tibétaine traditionnelle.
mer.
13
déc.
2017
« Les gens qui ont peur sont ceux qui sont capables d’un immense Amour. La peur est un aspect négatif de l’amour. Si on ne laisse pas l’Amour se déployer, il devient la peur. Si on laisse l’Amour se déployer, la peur disparaît. C’est pourquoi c’est seulement dans les moments d’Amour qu’il n’y a pas de peur. Si vous aimez une personne, soudain la peur disparaît. Les amoureux sont les seules personnes qui ne connaissent pas la peur. Même la mort ne crée pas de problème. Seuls les amoureux peuvent mourir dans un immense silence et sans aucune peur.
Cependant, plus vous aimez, plus vous ressentez la peur. Les femmes ressentent davantage la peur que les hommes, car elles ont davantage de potentialités d’amour. Dans ce monde, il y a très peu d’opportunités d’actualiser votre amour. Il rôde donc autour de vous. Et si une potentialité demeure latente, elle tourne en son opposé. Elle peut devenir de la jalousie, cela fait également partie de la peur. Elle peut devenir de la possessivité, cela fait également partie de la peur. Elle peut même devenir de la haine. Soyez donc de plus en plus aimant. Aimez d’un amour inconditionnel et aimez d’autant de manières possibles. On peut aimer de millions de manières. On peut aimer un simple étranger passant dans la rue. On peut juste ressentir de l’Amour pour lui et poursuivre son chemin. Parler n’est même pas nécessaire. Il n’est pas nécessaire de communiquer. On peut simplement le ressentir et poursuivre son chemin. On peut aimer une pierre. On peut aimer les arbres. On peut aimer le ciel, les étoiles. On peut aimer un ami, son mari, ses enfants, son père, sa mère. On peut aimer de millions de manières.
Souvenez-vous que le fait d’être brave ne signifie pas que vous êtes sans peur. Si quelqu’un est sans peur, vous ne pouvez pas le qualifier de brave. Vous ne pouvez pas qualifier une machine de brave ; elle ne connaît pas la peur. La bravoure n’existe que dans l’océan de la peur. La bravoure est une île dans l’océan de la peur. La peur est là. Pourtant, on prend le risque : c’est de la bravoure. On tremble, on a peur d’aller dans l’obscurité. Pourtant, on y va. En dépit de soi, on y va. Voilà ce que signifie être brave. Cela ne signifie pas que l’on n’a pas peur. Vous êtes plein de peur, mais la peur ne vous domine pas pour autant ; La plus importante question se pose quand vous rencontrez l’Amour. Alors, la peur s’empare de votre âme, parce qu’aimer signifie mourir ; mourir en l’autre.
C’est une mort_ et une mort bien plus profonde qu’une mort ordinaire. Dans la mort ordinaire, seul le corps meurt. Dans la mort de l’Amour, l’égo meurt. Il faut beaucoup de cran pour aimer. Il faut être capable d’y aller en dépit de toutes les peurs qui vocifèrent autour de vous. Plus le risque est grand, plus la possibilité de croissance est grande. Ainsi, rien n’aide davantage un homme à grandir que l’Amour. Les gens qui ont peur d’aimer restent infantiles ; ils restent immatures, ils ne mûrissent pas. Ce n’est que le feu de l’Amour qui vous fait mûrir. »
Osho "Le Courage, la joie de vivre dangereusement"
sam.
25
nov.
2017
" Nous vivons dans un monde qui a besoin de héros et de vedettes . C'est un monde où les extrêmes sont à l'honneur et qui vénère l'extraordinaire et le grandiose au profit de l'innocence et de l'équilibre .
Reconnaître que la recherche de l'extraordinaire est bien peu de chose et qu'elle peut devenir une prison, comparée à l'ampleur vibratoire de sa nature essentielle, est un long parcours qui demande de la bienveillance envers soi et l'usage juste du point 0 - de l'unité -
Les désirs et les besoins liés à notre TOUT INDIVIDUALISÉ sont à la fois intuitifs et songés . Ils s'accordent à notre nature profonde plutôt qu'à une extravagance intérieure . Une personne essentielle est authentique et s'ajuste aux exigences du moment présent tout en essayant de vivre en accord avec sa fréquence .
Elle n'est pas préoccupée par les tendances à la mode et elle peut profiter de tout ce qui l'entoure, mais c'est la relation qu'elle entretient avec sa voix intérieure et ses valeurs profondes qui mène ses actions . En demandant l'expression juste en manifestation de notre TOUT INDIVIDUALISÉ, nous deviendrons abondants sans que l'égo, avec ses plans grandioses et épuisants, régisse cette manifestation .
"Tout est divinement naturel pour l'homme opérant dans son véritable domaine"
La vie des Maîtres, Baird T. Spalding
Nous avons une spécialité naturelle qui résonne à la fréquence de notre Essence . Si nous décidons de l'ancrer, nous pourrons nous réaliser pleinement . En choisissant des projets qui résonnent avec notre véritable domaine, nous nous assurons un futur juste et bon, en accord avec notre TOUT INDIVIDUALISÉ et le plan d'expression de notre Âme centrale . Malgré les embûches, quand un projet est sur la bonne voie, le sentiment de paix persiste .
Quand un projet est désaligné, il incite à la tension, aux chicanes, au stress et à la panique . L'égo est géré par l'appât du gain et l'excès, tandis que l'Essence et l'Amour de soi le sont par l'attrait de l'expression justes de leurs fréquences . Dans certaines conditions, nous avons très peu tendance à nous écouter . Nos actions sont caractérisées par l'excès de pôlarisé à travers lequel nous ne pouvons reconnaître les limites de de nos ressources et les accepter au point 0 -dans l'unité .
Quand nous sommes sur la mauvaise voie quantique qui ne résonne pas avec notre nature Essentielle, nous sommes anxieux, nous devons pousser, insister et chaque pas en avant s'accompagne d'un pas en arrière . Nous devons alors nous arrêter et nous ramener à l'innocence et à la modestie grandiose de notre TOUT INDIVIDUALISÉ . Car le TOUT INDIVIDUALISÉ, pour s'incarner de façon consciente dans la nouvelle fréquence actuelle, recherche la voie du Coeur . L'expansion et la manifestation de l'abondance à tout prix ne sont pas toujours Essentielles . La modestie essentielle est riche et elle vibre, elle est confiante et sereine . Si nous demandons, nous recevrons, mais pas à n'importe quel prix et pas sur n'importe quelle fréquence . " Kishori Aird
sam.
25
nov.
2017
" Une des raisons pour lesquelles nous laissons nos intentions par défaut nous mener est la pensée magique – l'habitude de laisser passer les choses, de ne pas en faire de cas, en se disant que le temps arrangera bien des choses.
La pensée magique, c'est croire qu'un jour tout va être correct. Que tout va arriver sans que je n'aie rien à transformer en moi. Que je vais gagner le million ou que tout à coup le monde va découvrir que je suis une artiste de talent.
Bref, c'est croire que les choses que je souhaite vont se produire comme par magie.
La première fois que j'ai entendu cette expression " pensée magique" , j'ai dû vraiment m'arrêter et me regarder sans jugement pour saisir ce que cela signifiait dans ma vie. Et je me suis rendu compte que j'espérais qu'un jour, dans un futur hypothétique, par une chimie quelconque , j'aurais une vie qui me comblerait. Je n'avais pas encore compris que j'allais devoir m'atteler à la tâche et rester présente à mes vulnérabilités plutôt que de les ignorer en espérant que tout allait finir par s'arranger. Il m'a fallu bien des déboires pour enfin devenir responsable de la réalité dans laquelle je vivais.
Dans les années 1980-1990, la pensée magique est apparue sous la forme des affirmations. Nous pensions qu'il suffisait de faire une affirmation ( " je vais de mieux en mieux chaque jour " est la plus classique ) pour que notre réalité s'y conforme et change . J'ai beaucoup utilisé les affirmations, mais j'ai dû admettre que cette technique n'avait pas d'emprise réelle sur les embûches que j'affrontais au quotidien. Au prise avec les dilemmes de la vie courante et les contraintes de la troisième dimension, les affirmations me procurais plus de frustration que de plaisir. Pourtant, ces affirmations sont des intentions, des commandes, n'est-ce pas ? La pensée magique nous convainc que tout devrait être simple, et elle a pour résultat que nous nous décourageons lorsque ça ne l'est pas. C'est elle qui se cache dans cette phrase que l'on entend souvent en thérapie : « Pas encore ça ! Je croyais que c'était réglé et que j'en avais fini avec ça. »
" Lorsque nous espérons voir disparaître notre inconfort "comme par magie", nous abdiquons notre rôle de programmeurs, notre pouvoir sur notre réalité. Pourtant, la vie nous demande de nous impliquer dans notre évolution. Elle veut que nous soyons des créateurs imaginatifs travaillant et cocréant avec une intention consciente, tout en donnant la place qui leur revient à nos souffrances.
Toute la clé est là. Elle se retrouve dans les mots "tout en donnant la place qui leur revient à nos souffrances". Il m'a fallu plusieurs années pour comprendre que j'avais des programmes par défaut qui annulaient l'effet de mes affirmations parce que je niais mes souffrances et ma vulnérabilité. Parce que en d'autres mots je niais mon humanité, ma dualité. " Kishori Aird
sam.
25
nov.
2017
" Pour créer une intention consciente, il faut d'abord identifier notre souffrance, notre vulnérabilité, c'est-à-dire les états dans lesquels nous avons le plus tendance à choisir mon centième programme et, ensuite, l'inclure dans la formulation de la passion. Notre contact avec les sens, notre contact avec l'intuition et notre connexion avec notre ADN se résume à savoir lire un inconfort, simplement installer un nouveau programme par le pied de l'attention.
Notre vulnérabilité se manifeste de diverses façons .
Voici une courte liste de quelques signes indiquant que nous sommes dans une zone de vulnérabilité :
– Se sentir à l'étroit dans le cadre où nous évoluant ( un groupe de travail, une relation amoureuse, etc..)
– Les « il faut que », le sentiment du devoir
– La comparaison, c'est-à-dire se sentir supérieur ou inférieur à ...
– Les " Que faire ? Quand le faire ? Où aller ? " , C'est-à-dire le doute intérieur
– Les palpitations cardiaques, la respiration courte, les réactions physiologiques limitative
– La rumination mentale, l'incapacité de lâcher-prise
– Les " je ne suis pas correct " , " que je suis donc sot " , " je n'y arrive pas du tout ", soit le non- amour de soi
– Certains malaises physiques ou émotifs qui nous ramène dans le passé ou nous propulsent vers l'avenir
– Toute réaction ou comportement déplacé, qui ne colle pas à la réalité présente et qui se reproduit de manière inconsciente ( peur que les clients ne soient pas satisfaits, peur de ne pas paraître intelligent, peur de subir des reproches même quand on ne fait rien, peur de…)
Les souffrances passées tout comme les joies passées vivent et cohabitent à l'intérieur de nous. Les deux ont leur place et ni les unes, ni les autres ne doivent être éclipsées . Ce qui doit finir ce n'est donc pas la souffrance, mais l'évitement ou le rejet de la souffrance.
Certains pensent qu'il faut guérir les anciennes programmations pour éviter d'être dans la souffrance, mais en réalité, l'accompagnement de la souffrance s'avère davantage bénéfique pour la totalité de notre être. Il s'agit de lui laisser son propre espace et de s'en servir pour faire de nouveaux choix. Ce que nous voulons faire disparaître, c'est le contrôle que cette vulnérabilité, ces souffrances du passé, exercent inconsciemment sur notre présent. En d'autres mots, nous voulons désamorcer les programmes par défaut et non faire disparaître la vulnérabilité et les souffrances qui les ont installées.
Ce point est très important. Pour pouvoir réellement créer des intentions efficaces qui agiront sur l'ADN superflu, nous devons d'abord être en mesure de rester présent à notre partie vulnérable. De plus, ceci présuppose de l'accueillir et de rester présent dans notre corps plutôt que de l'éviter par des mécanismes de fuite. Nous avons tendance en période d'inconfort, à nous dissocier de notre corps. Ce mécanisme de fuite s'apprend dans l'enfance, car à cette période de notre vie nous ne sommes pas très solidement liés au corps et il est facile de "sortir de notre corps .
Cependant, une fois adulte, nous ne pouvons pas être présent à notre vulnérabilité si nous sommes dissociés de notre corps.
Passer du temps avec notre partie vulnérable, celle qui transporte avec elle tout un aspect d'impuissance, ne signifie pas que nous ne ferons que ça et rien d'autre, que notre réalité sera imprégnée d'une impuissance continuelle. Cela signifie que nous serons en contact avec tous les aspects de nous-mêmes et qu'il nous faudra intégrer la vision d'une intention centrale au centre de nous-mêmes. Si je ne suis pas en contact avec ma partie vulnérable, c'est elle qui commande par les programmations par défaut qu'elle m'impose. Si je suis en contact avec elle, c'est moi qui commande puisque je peux entamer un dialogue avec elle et définir en même temps une nouvelle réalité pour moi-même.
Par exemple, je peux ainsi dire à cette partie vulnérable de moi-même : « je vais passer du temps avec toi, je vais rester avec toi » et, parallèlement, « J'ai choisi de vivre dans la puissance même si j'ai une partie de moi qui souffre ». Le simple fait de formuler une intention qui inclut ma vulnérabilité ( même si j'ai une partie de moi qui souffre ) me donne le droit de faire autre chose que de subir mes programmations par défaut, de choisir de vivre dans ma puissance. En d'autres mots, j'utilise ma vulnérabilité pour créer et plutôt que de la laisser me limiter . Ce faisant, elle devient une richesse dans la vie.
Ce qui précède illustre bien le fait que notre "salut", notre véritable pouvoir, passe par l'acceptation de notre humanité et non par son rejet. Nous avons tendance à magnifiez notre côté spirituel et à nous dire "je suis beau que lorsque je suis dans mon aspect lumineux" . La vraie beauté, le vrai pouvoir vient de l'équilibre entre notre lumière et notre ombre, celle-ci étant notre côté plus fragile et vulnérable . " Kishori Aird
sam.
25
nov.
2017
" S'il ne nous restait que quelques minutes à vivre, nous nous attarderions à l'essentiel.
Il n'y aurait plus de recherche, il n'y aurait que l'acceptation de ce qui est. Nous n'aurions plus le temps de devenir quelqu'un de mieux. Nous ne pourrions qu'être, en restant convergents, au point zéro .
Au centre de la spirale de l'Unité, là où tout est convergent, tout devient acceptable : l'anxiété anticipatoire, la confusion, la distraction et le désir
autant que la paix, l'amour et la joie.
En refusant de les dissiper aux quatre vents en périphérie de notre être et en leur permettant de nourrir le vortex convergent du point zéro, nous pourrions demeurer présents à tout ce qui est, sans autre direction, dans l'unité .
Le point zéro englobe tout et permet à l'ombre de coexister avec
la lumière dans un mouvement dynamique. C'est la porte qui ouvre à l'immensité du Grand Tout, un état où se trouve notre identité vibratoire Essentielle et Éternelle.
En permettant à notre vie de s'aligner sur la fréquence de notre Essence au lieu de choisir que nos objectifs nous conduisent vers Elle, nous permettons à l'Essence d'agir et de nous conduire vers ses objectifs.
Je vous invite à explorer la liberté de l'état du point zéro, la Convergence dans l'Unité, l'amour de Soi et le plaisir d'être avec son Essence. "
Kishori Aird
sam.
25
nov.
2017
Le physicien américain Nassim Haramein était pour la première fois à Paris et j’étais à sa conférence à Jussieu au milieu de cette foule hurlante acclamant son héros.
Une expérience historique et fantastique au cours de laquelle j’ai senti les frissons d’un nouvel état vibratoire. Cet homme est en train de prouver scientifiquement toutes les philosophies spirituelles. Il place la physique au service de la prise de conscience planétaire qu’il existe une connexion entre tous les points de l’Univers. Ce phénomène incroyable qui fait que nous sommes tous connectés les uns aux autres, à la nature, aux étoiles, aux planètes et que nous pouvons agir par l’intention, en puisant au fond de nous, sur chaque point de l’univers.
Si je ne suis pas (encore) capable de vous retranscrire précisément les termes physiques et mathématiques employés par Nassim Haramein, voici l’essence de ce que j’ai compris et qui m’illumine depuis.
Chaque point est essentiel à l’avancement de l’Univers qui fait que nous sommes ici. Beaucoup d’anciennes civilisations en parlaient. A l’intérieur de chaque point, il y a l’information de tous les points de l’Univers. Cette théorie n’est plus seulement un mythe, une philosophie spirituelle, elle devient physique. Les concepts spirituels existent dans la matière, à l’intérieur d’elle littéralement.
Notre physique actuelle n’est pas unifiée car il y a d’un coté la théorie de la relativité d’Einstein et de l’autre la physique quantique. Nassim Haramein donne les clés de cette unification car il a toujours été évident pour lui que l’infiniment grand est fait de l’infiniment petit et qu’il y a un point qui les connecte. Ce point est la fluctuation du vide quantique, c’est le point de Planck présent dans le vide quantique. Si on regarde la nature, on voit bien que tout est connecté, son organisation est miraculeuse, tout se coordonne. Si nous sommes là, c’est bien que tout se coordonne vu l’infime des probabilités. Tous les grands maîtres spirituels parlent d’un Univers qui est Un.
Alors qu’est ce qui connecte l’univers ?
C’est l’espace qui est présent partout, entre les galaxies, les étoiles, les planètes et les molécules (il y a 99,999..% d’espace dans l’atome). Nous avons l’impression que la matière est solide en raison de champs électromagnétiques ayant des résonances spécifiques, mais rien ne se touche en réalité. Notre réalité matérielle est de l’espace en vibration. Notre société a fait beaucoup d’études sur le point de la matière mais si peu sur le vide qui représente ce 99,999..% et qui est très probablement la source de la matière. Or, en comprenant les sources de la création de la matière on arrive à l’unification d’une part et d’autre part on peut créer des miracles.
« L’espace n’est pas vide. Il est plein. L’univers n’est pas séparé de cette mer cosmique d’énergie » disait le scientifique David Bohm.
La base de la physique quantique c’est que l’espace n’est pas vide et que chaque point a une énergie infinie. Au niveau de Planck, les énergies vont vers l’infini. Nous sommes faits de 100 000 milliards de cellules et 100 000 milliards d’atomes dans ces cellules, et à l’intérieur il y a le proton.
Puisque le point de Planck est si petit dans la densité de la matière, chaque oscillation a une masse d’énergie énormissime. Si on prenait toutes les étoiles dans l’univers dans le même espace que celui point de Planck, elles ne feraient pas la densité du Planck. Ça ne serait pas assez pour déterminer le vide quantique. Et c’est ce que nous appelons du « vide ». Le mécanisme qui fait que toutes les cellules s’organisent dans notre corps est basé sur l’information contenue dans ce « vide ». Les cellules utilisent donc la structure de l’espace pour coordonner l’information. L’espace est rempli de l’énergie du vide, et entre le Planck et l’étoile il y a le trou noir. Les structures des étoiles et des galaxies émergent des trous noirs. Le noyau de l’atome, le proton, est aussi un trou noir. Selon les calculs complexes de Nassim Haramein (que je ne suis pas capable de vous transcrire), la masse de l’univers se retrouve dans un proton et la masse de tous les protons dans l’univers se retrouve dans la masse d’un proton. L’univers est holographique, l’information de tout l’univers est présente dans un point. Ce résultat ne peut pas être une coïncidence et il permet de relier gravité et physique quantique. L’influence de tous les protons sur un proton crée la masse de l’univers. Le nombre de plancks dans un trou noir est égal à la masse du trou noir. La masse holographique est la même solution que la masse de la gravité d’Einstein. On peut alors décrire la gravité à partir de la structure quantique. La gravité est la relation d’information dans la structure du vide. La source de la gravité est un granulé dans l’espace-temps.
Le temps n’existe pas, c’est un concept de l’homme. Le temps sans la mémoire n’existe pas, car si on ne peut pas se souvenir, le concept de temps disparaît.
Les particules sont intriquées même à des points différents de l’univers de façon instantanée par le proton qui est comme une sorte de serveur, le point où tout est connecté. Le proton est connecté à la surface de notre univers qui est connecté à la surface d’autres univers. Un proton a tout l’univers en lui. Si le proton sort de l’univers, il va changer d’état de densité et va s’expanser. Donc le big bang est un proton sorti d’un univers. A l’intérieur de l’univers, des protons se créent, car il y a continuellement création de la matière. Notre univers change constamment, il apprend en permanence.
Nous faisons partie d’une mécanique de l’espace qui nous connecte d’un point fini à un point infini. Des gens peuvent avoir des visions à distance, car ils vont trouver l’information à l’intérieur d’eux. Des gens peuvent influencer l’extérieur à distance, car l’information de l’univers peut être changé à chaque point de l’autre coté de l’univers.
Les implications technologiques de cette découvertes sont énormes, car on pourra bientôt prendre de l’information ici et l’envoyer de façon instantanée de l’autre coté de l’univers. En maîtrisant la gravité, on pourra changer toute notre civilisation.
Notre civilisation va périr si nous n’apprenons pas à contrôler la gravité, car la surface de la planète terre n’est pas stable. En une seconde, le soleil peut faire perdre son atmosphère à la Terre. C’est d’ailleurs complètement incroyable que nous soyons toujours là, c’est la grâce divine quand on voit toutes les choses qui nous ont manquées. Il faut maintenant partir de la surface de la Terre et redonner la Terre à la Terre. On va devenir une civilisation habitant l’Univers. Et tous les stress qui font qu’on se bat les uns contre les autres vont disparaître quand on maîtrisera totalement le contrôle de la gravité. On pourra puiser les ressources de tout l’Univers.
Ces avancées technologiques vont avec la montée de conscience actuelle qui nous fait réaliser que chaque chose que l’on fait influence toutes les autres dans l’Univers. La source de notre conscience ne se trouve pas en nous, mais dans l’espace.
Le haut de notre cerveau est comme une antenne qui capte la conscience et est réglée pour recevoir l’information. Notre cerveau reçoit l’information de façon plus ou moins claire en fonction de notre état émotionnel qui change les rythmes de notre cœur et de notre cerveau. Notre état émotionnel est donc une sorte de bouton pour l’antenne vers la conscience. C’est pour cela que plus nous travaillons sur notre état émotionnel, plus nous accédons à des états de conscience élevés et nous pourrons accéder à ces révolutions technologiques.
✿ Nous sommes proches d’un changement de civilisation, de monde, de conscience, d’état émotionnel vibratoire et nous pouvons déjà le sentir dans nos cellules. ✿
sam.
25
nov.
2017
sam.
25
nov.
2017
Cependant, de nouvelles recherches ont montré qu'il est possible que certaines informations sont héritées biologiquement par des changements chimiques qui se produisent dans l'ADN.
Des chercheurs de l'École de médecine de l'Université Emory, à Atlanta, ont constaté que les souris peuvent transmettre des informations tirées des expériences traumatiques ou stressants - dans ce cas, la peur de l'odeur de la fleur de cerisier - pour les générations suivantes.
Les résultats peuvent aider à expliquer pourquoi les gens souffrent de phobies irrationnelles apparemment - et ça peut être basé sur les expériences héritées de leurs ancêtres.
Ainsi, une peur des araignées peut en fait être un mécanisme de défense hérité prévue dans une famille de gènes par la rencontre effrayante d'un des ancêtres d'un arachnide.
Dr Brian Dias, du département de psychiatrie à l'Université Emory, a déclaré : « Nous avons commencé à explorer une influence sur le comportement sous-estimé adulte - par l'expérience ancestrale avant la conception.
" Du point de vue de la traduction, nos résultats nous permettent d'apprécier la façon dont les expériences d'un parent, avant même que les enfants soit conçus, peuvent influencer nettement la fois la structure et la fonction du système nerveux des générations futures.
"Un tel phénomène peut contribuer à l'étiologie et la transmission intergénérationnelle de risque potentiel de troubles neuropsychiatriques tels que les phobies, l'anxiété et le trouble de stress post-traumatique." (...)
Professeur Marcus Pembrey, un généticien pédiatrique à l'University College de Londres, a déclaré que le travail fourni "des preuves irréfutables" pour la transmission biologique de la mémoire.
Il a ajouté: "Il aborde la peur constitutionnelle qui est très pertinente pour les phobies, l'anxiété et les troubles de stress post-traumatique, ainsi que le sujet controversé de la transmission de la« mémoire » de l'expérience ancestrale à travers les générations.
« Il est grand temps que les chercheurs en santé publique prennent les réponses transgénérationnelles des humains trés au sérieux. "
Par Richard Gray , sciences Correspondant, le 1 décembre 2013. Traduction Google . Lien Source : http://www.telegraph.co.uk/science/science-news/10486479/Phobias-may-be-memories-passed-down-in-genes-from-ancestors.html
sam.
25
nov.
2017
" Une expérience démontrant l'influence des états émotionnels sur la forme de la molécule d'ADN a été réalisée à l'Institut HeartMath (voir présentation de cet Institut dans Codes et mémoires).
De l'ADN humain a été enfermé dans un tube à essai et confié à un expérimentateur à qui on demandait de se focaliser sur une intention. Le degré d'enroulement ou de déroulement de la molécule d'ADN a été estimé avant et après par la mesure de l'absorption de lumière ultraviolette. L'expérience a été reproduite 28 fois avec 28 expérimentateurs différents.
Les résultats montrent que la forme de l'ADN change en fonction des états émotionnels de l'expérimentateur. Quand l'expérimentateur rayonne gratitude, amour et estime, l'ADN se relâche et s'allonge. Quand il reçoit une atmosphère de colère, frustration, stress, l'ADN se resserre et se raccourcit. De nombreux codons (éléments d'un gène) sont court-circuités (codons: voir ADN moléculaire). Ils redeviennent actifs lorsqu'on leur redonne des sentiments d'amour et de gratitude.
On en conclut qu'on peut envoyer un signal physique par la pensée à une molécule.
Ce signal est communiqué à travers l'espace. Comment ?
L'existence d'une matrice universelle peut répondre à cette question. Elle a été mise en évidence par la physique quantique avancée .
D'après Modulation of DNA Conformation by Heart-Focused Intention, R. McCraty, M. Atkinson, D. Tomasino, Institut Harthmath, Boulder Creek, Californie, États-Unis, 2003 - voir aussi un compte-rendu en français (approximatif) " Alain Boudet
http://www.spirit-science.fr/doc_psycho/pensee.html#mozTocId261268
sam.
25
nov.
2017
Mutation de notre ADN en rapport avec des changements dans la conscience…
Depuis des années, les généticiens savent que des changements se produisent dans l’ADN. Ils ont constaté que des hélices d’ADN se sont ajoutées chez des personnes adultes.
Cela irait de pair avec des changements dans la conscience.
Praticien de médecine holistique au Centre Avalon de Bien-Etre, au Mount Shasta en Californie, le Dr Berrenda Fox possède des tests sanguins fournissant la preuve que certaines personnes ont réellement développé de nouveaux brins d’ADN.
Lors d’un interview, il a déclaré : « Des changements ont lieu, des mutations qui, selon les généticiens, ne s’étaient jamais encore produites ». Il y a plusieurs années déjà, à Mexico City, une convention de généticiens venant du monde entier avait pour thème « le changement d’ADN ».
Nous sommes en train de faire un saut d’évolution, et pourtant la grande majorité de l’humanité n’est pas informée des changements qui ont lieu !
Tout le monde a une double hélice d’ADN. Ce que nous découvrons, c’est qu’il y a d’autres hélices qui sont en train de se former.
Dans la double hélice, il y a deux brins d’ADN torsadés en spirale. Ces changements ne sont pas publiquement connus, parce que la communauté scientifique a l’impression que cela effraierait la population. Et cependant, les personnes sont en train de changer au niveau cellulaire.
« Je travaille en ce moment avec trois enfants, qui ont trois hélices d’ADN », précisait dans une interview le Dr Berrenda Fox.
« Certains adultes que j’ai testés ont réellement une deuxième hélice d’ADN qui se forme. Certains forment même une troisième hélice. Ces personnes
passent à travers des changements majeurs dans leur conscience et dans leur corps physique, parce que tout cela ne fait qu’un. Ainsi, la Terre et les êtres humains élèvent leur vibration
».
On sait aujourd’hui que des milliers de personnes, ayant contracté le sida, finissent par s’en débarrasser et se retrouver avec un système immunitaire renforcé, dû probablement aux quatre cordons d’ADN supplémentaires découverts chez elles.
Les médecins de l’Université de Californie à Los Angeles (UCLA) ont suivi un garçon né avec le virus du sida. L’enfant a successivement été examiné à sa
naissance, à 6 mois et à 1 an. Ensuite encore à 5 ans et, cette fois, il fut constaté que toute trace du virus avait disparu.
Médecins et spécialistes se posèrent beaucoup de questions et finirent par examiner l’ADN du jeune garçon. Ils découvrirent que l’enfant avait 24 cordons de
son ADN actifs au lieu de 20 comme chez les êtres humains dits « normaux ».
On examina ensuite son état immunitaire. Il semblait que l’enfant était préservé contre tout. Et l’on découvrit que son système immunitaire était 3000 fois plus fort que chez le commun des mortels !
Des recherches s’ensuivirent pour voir s’il y avait d’autres cas de mutation de ce genre.
En effet, on en découvrit 1, puis 100, puis 1000.
A l’Université de Californie, on croit à présent que plus de 1 % de la population mondiale pourrait être dans ce cas.
Nous assisterions à un phénomène d’immunité spontanée jamais observé précédemment.
Cela expliquerait peut-être aussi les cas, de plus en plus nombreux, de « guérisons inexpliquées » de sidéens qui refusent la chimiothérapie, la tri-thérapie ou autres médicalisations qui affaiblissent le système immunitaire. Est-il besoin de préciser que certains d’entre eux vivent des années sans inconvénients, bien qu’ils aient été répertoriés séropositifs ?
Extrait d’un article trouvé sur ce site : http://www.elishean.fr
Important : Vous êtes invité à reproduire ce texte pour le transmettre en mettant ceci :
« Trouvé sur http://www.legrandchangement.com » Merci
sam.
25
nov.
2017
Posté le 6 septembre 2014 par Le Transmetteur —
Par Grazyna Fosar and Franz Bludorf Economie et Esotérisme pour un Nouveau Paradigme – Quantum Pranx – Découvertes Russes sur l’ADN – Version originale –
L’ADN HUMAIN EST UN INTERNET BIOLOGIQUE supérieur sous de nombreux aspects à l’Internet artificiel.
Les dernières recherches scientifiques expliquent directement ou indirectement les phénomènes tels que la clairvoyance, l’intuition, les actes de guérison spontanée et à distance, l’auto – guérison, les techniques d’affirmation, les lumières inhabituelles/auras qui entourent certaines personnes (appelés maîtres spirituels), l’influence de l’esprit sur les conditions météorologiques et bien plus encore .
De plus, il y a à l’évidence un tout nouveau type de médecine où l’ADN peut être influencé et reprogrammé par les mots et les fréquences SANS couper ou remplacer un seul gène. Seulement 10% de notre ADN est utilisé pour la fabrication de protéines.
C’est ce sous – ensemble d’ADN qui intéressent les chercheurs occidentaux et qui est actuellement examiné et catégorisé.
Les autres 90% sont considérés comme de ‘l’ADN junk (inutile)’.
Cependant, les chercheurs Russes, convaincus que la nature n’est pas stupide, ont rejoint les linguistes et les généticiens en entreprenant d’explorer ces 90% de ‘d’ADN junk’. Leurs résultats et conclusions sont tout simplement révolutionnaires !
Selon eux, non seulement notre ADN est responsable de la construction de notre corps mai s il sert également de stockage de données et de communication. Les linguistes Russes se sont aperçus que le code génétique, particulièrement celui qui est apparemment inutile à 90%, suit les mêmes règles que notre langage humain .
Pour cela, ils ont comparé les règles de syntaxes (la manière dont les mots sont mis ensemble pour former les phrases), la sémantique (l’étude du sens des formes de langage) et les règles de grammaires basiques . Ils se sont aperçus que les alcalis de notre ADN suivent une grammai re régulière et ont établi des règles semblables à celles de notre langage.
Donc le langage humain n’est pas le fruit d’une coïncidence mais il est le reflet de notre ADN inhérent. Le biophysicien et biologiste moléculaire Pjotr Garjajev et ses collègues ont également exploré le comportement vibrationnel de l’ADN .
(afin de faire bref, j’en ferai seulement le résumé ici. Pour une exploration plus poussée, merci de vous référer à l’annexe en fin d’article).
L’essentiel était ceci : « Les chromosomes vivants fonctionnent exactement comme des ordinateurs solitoniques / holographiques utilisant le rayonnement laser de l’ADN endogène . »
Ce qui signifie qu’ils ont réussi par exemple à moduler certains schémas fréquentiels avec un rayon laser et qu’ils ont avec celui –ci influencé la fréquence ADN et par conséquent l’information génétique par elle –même .
Puisque la structure de base de l’ ADN – paires alcalines et le langage (comme nous l’avons expliqué plus haut), sont de même structure, le décodage ADN n’est plus nécessaire.
On peut tout simplement utiliser les mots et les phrases du langage humain ! Ceci a été également prouvé de façon expérimentale !
La substance ADN vivante (dans les tissus vivants et non pas in vit ro) réagi t toujours au langage modulé des rayons laser et même aux ondes radios, si on utilise les fréquences appropriées. Cela explique finalement et scientifiquement pourquoi les affirmations, le training autogène, l’hypnose et autres peuvent avoir des effets aussi puissants sur les humains et leur corps. Il est tout à fait normal et naturel que notre ADN réagisse au langage.
Alors que les chercheurs occidentaux coupent un gène unique à partir des brins d’ADN et qu’ils l’insèrent ailleurs , les Russes travaillent avec enthousiasme sur des dispositifs qui peuvent influencer le métabolisme cellulaire grâce à des fréquences radio modulées et des fréquences de lumière afin de réparer les défauts génétiques. Le groupe de chercheurs, Ils ont même captés les schémas d’informations d’un ADN particulier et les ont transmis à un autre, donc ils ont reprogrammé les cellules d’un autre génome.
Et ils ont transformés avec succès, par exemple, des embryons de grenouilles en embryons de salamandres simplement en transmettant des schémas d’informations d’ADN ! Ainsi toutes les informations ont été transmises sans aucun des effets secondaires et sans les problèmes rencontrés lorsqu’on coupe et que l’on réintroduit un gène unique d’ADN.
Cela représente une révolution incroyable qui peut changer le monde et les sensations ! Tout ceci en impliquant simplement les vibrations et le langage au lieu de la procédure archaïque de découpage !
Cette expérience souligne l’immense pouvoir des ondes génétiques, ce qui a évidemment une plus grande influence sur la formation des organismes que le processus biochimique des séquences alcalines.
Les enseignants ésotériques et spirituels savent depuis toujours que notre corps est programmable par le langage, les mots et la pensée. C’est désormais prouvé et expliqué scientifiquement.
Bien sûr la fréquence doit être correcte. Et c’est pourquoi tout le monde n’a pas autant de succès ni ne peut pas toujours le faire avec la même intensité.
La personne individuelle doit travailler sur des processus intérieurs et sur la maturité afin d’établir une communication consciente avec l’ADN.
Les chercheurs Russes travaillent sur une méthode qui n’est pas dépendante de ces fact eurs et qui marchera TOUJOURS, à condition que l’on utilise la bonne fréquence.
Mais plus la conscience individuelle est développée, moins il y aura besoin de ce genre de dispositif !
On peut obtenir soi–même ces résultats . Et la science arrêtera enfin de se moquer de telles idées en confirmant et en expliquant les résultats.
Et ce n’est pas fini.
Les scientifiques Russes ont également trouvé que notre ADN pouvait provoquer des schémas déconcertants dans le vide, en produisant des vortex (trous de vers) magnétisés ! Les vortex (trous de vers) sont l’équivalent microscopique de ce que l’on appelle les ponts d’Einstein – Rosen situés dans le voisinage des trous noirs ( laissés par l’effondrement d’une étoile calcinée).
Il y a des des connexions– tunnel entre des espaces totalement différents de l’univers au travers desquels les informations peuvent être transmises hors de l’espace et du temps.
L’ADN attire des bribes d’informations et les transmet à notre conscience.
Ce processus d’hyper – communication est plus efficace en état de relaxation. Le stress, l’inquiétude ou bien un intellect hyperactif empêche une hyper – communication effective et les informations reçus peuvent être complètement déformées et inutiles. Dans la nature, l’hyper–communication a été appliqué e avec succès pendant des millions d’années. Le courant organisé de la vie dans le règne des insectes le prouve de façon spectaculaire.
L’homme moderne ne le sait que sur le plan beaucoup plus subtil de ‘l’intuition’. Mais nous pouvons nous aussi en retrouver la pleine utilisation.
Un exemple de la Nature : Lorsqu’une reine est éloignée de sa colonie, la fonctionnement de celle – ci continue activement malgré tout conformément au plan. Mais si la reine est tuée, tout le travail de la colonie s’arrête. Aucune fourmi ne sait plus ce qu’elle doit faire. Apparemment la reine envoie également de très loin les ‘plans de fonctionnement’ via la conscience de groupe de ses sujets. Elle peut être aussi loin qu’elle le désire, tant qu’elle est en vie.
Chez l’homme l’hyper–communication se rencontre le plus souvent lorsque celui– ci a soudainement accès à des informations qui ne font pas partie de ses connaissances de base. Une telle hyper– communication est ensuite expérimentée en tant qu’inspiration ou intuition.
ex : Le compositeur Italien Guiseppe Tartini avait par exemple rêvé une nuit que le diable jouait du violon à ses côtés. Le matin suivant Tartini avait été capable de réécrire le morceau en entier de mémoire ; il l’avait appelé la Sonate des Trilles du Diable. Pendant des années, un infirmier de 42 ans rêvait d’une situation où il était relié à un savoir du genre CD –ROM. Des connaissances vérifiables dans tous les domaines inimaginables lui étaient alors transmises et il était capable de s’en souvenir le matin. Il y avait un tel flot d’informations qu’il semblait qu’une encyclopédie entière lui était transmise en une nuit. La majorité des faits relatés étaient hors de sa base de connaissance personnelle et donnaient des détails techniques qu’il ne connaissait absolument pas. Lorsque survient l’hyper–communication, on peut observer ce phénomène particulier dans l’ADN et dans l’être humain.
Les scientifiques Russes ont irradiés des échantillons d’ADN avec une lumière laser. Un schéma ondulatoire typique s’est formé sur l’é cran. Lorsqu’ils ont retiré l’échantillon d’ADN, le schéma ondulatoire n’a pas disparu, il est resté sur l’écran. De nombreuses expériences de contrôle ont montré que le schéma provenait encore de l’échantillon qui avait été retiré et que le champ énergétique semblait rester de lui – même. L’effet est appelé maintenant l’effet ADN fantôme. On suppose que l’énergie qui vient hors de l’espace et du temps s’écoule toujours au travers des vortex (trous de vers) activés après que l’ADN ait été retiré.
Les effets secondaires, que l’on rencontre le plus souvent en hyper–communication et également chez les êtres humains, sont des champs électromagnétiques inexplicables dans le voisinage des personnes concernées. Les appareils électroniques comme les lecteurs de CD et autres peuvent être perturbés et cesser de fonctionner pendant des heures. Lorsque le champ électromagnétique se dissipe lentement, les appareils se remettent à fonctionner normalement.
De nombreux guérisseurs et médiums connaissent cet effet dans leur travail.
C’est lorsque l’atmosphère et l’énergie sont les meilleures qu’il peut être très frustrant de voir que l’appareil d’enregistrement cesse de fonctionner et d’enregistrer exactement à ce moment –là. Et des allumages et des 4 extinctions répétés après cette période n’en restaureront pas encore la fonctionnalité, mais le matin suivant tout sera redevenu normal.
Cela va peut être être rassurant pour bon nombre d’entre vous car cela n’a rien à voir avec un mauvais fonctionnement technique ; cela signifie qu’il s sont sont bons en hyper– communication.
Dans leur livre “Vernetzte Intelligenz” (Intelligence en Réseau) , Grazyna Gosar et Franz Bludorf expliquent ces connexions d’une façon précise et claire. Les auteurs citent également des sources qui supposent que dans les temps anciens, l’humanité, tout comme les animaux, était très fortement connectée à la conscience de groupe et agissait en tant que groupe. Afin de développer l’individualité, nous les humains avons dû oublier presque complètement l’hyper–communication .
Maintenant que nous sommes assez stables dans notre conscience individuelle, nous pouvons créer une nouvelle forme de conscience de groupe, à savoir, celle où nous avons accès à toutes les informations via notre ADN sans être forcés ou bien contrôlés à distance sur ce qu’il faut faire de ces informations.
Nous savons maintenant que, tout comme Internet, notre ADN peut alimenter ses propres données dans le réseau, qu’il peut solliciter des données à partir du réseau et y participer. La guérison à distance, la télépathie ou ‘télédétection’ sur l’état de nos proches, etc. peuvent de ce fait être expliquées.
Certains animaux savent très longtemps à l’avance lorsque leur propriétaire pense revenir chez eux. Ceci peut être nouvellement interprété et expliqué via les concepts de conscience de groupe et de l’hyper–communication. Toute conscience collective ne peut pas être raisonnablement utilisée sans une individualité distincte.
Sinon, nous ferions un retour vers l’instinct grégaire primitif qui peut être facilement manipulé. L’hyper – communication dans le nouveau millénaire signifie quelque chose de très différent : les Chercheurs pensent qui si les humains dans leur pleine individualité récupéraient leur conscience de groupe, ils pourraient avoir sur Terre un pouvoir d’ordre divin afin de créer, de modifier et façonner les choses !
ET l’humanité se dirige collectivement vers une conscience de groupe de ce nouveau type.
50 % des enfants actuels seront bientôt des enfants à problème dès qu’ils iront à l’école car le système regroupe chacun dans un ensemble et leur demande de s’ajuster.
Mais l’individualité des enfants d’aujourd’hui est tellement puissante qu’ils refusent cet ajustement et l’abandon de leur singularité des façons les plus diverses.
En même temps de plus en plus d’enfants clairvoyants naissent actuellement (voir le livre ‘ China’s Indigo Children’ ‘les enfants Indigo Chinois’) de Paul Dong ou bien le chapitre de mon livre ‘ Nutze die taeglichen Wunder’ (utilisez les Merveilles Quotidiennes).
Quelque chose dans ces enfants va de plus en plus vers cette conscience de groupe de ce nouveau type et ne sera plus réprimé.
En règle générale, par exemple il est difficile pour un seul individu d’influencer les conditions météorologiques.
Mais elles peuvent être influencées par une conscience de groupe (rien de nouveau pour certaines tribus avec leur danse de la pluie). La météo est largement influencée par les fréquences de résonance, appelées les fréquences de Schumann. Mais ces mêmes fréquences sont également produites par notre cerveau ; et lorsque de nombreuses personnes synchronisent leurs pensées ou si certains individus (maîtres spirituels, par exemple) focalisent leurs pensées à la manière d’un laser, alors il n’est pas surprenant que scientifiquement parlant ils puissent influencer le temps.
Le chercheurs en conscience de groupes ont formulé la théorie de civilisations de Type I.
Une humanité qui a développé un groupe de conscience du nouveau type n’aurait jamais de problèmes environnementaux, ni de pénurie d’énergie. Car si elle devait utiliser la puissance mentale en tant que civilisation unifiée, elle aurait le contrôle des énergies de sa résidence planétaire en tant que conséquence naturelle. Et cela inclut toutes les catastrophes naturelles !!! Une civilisation théorique de Type II serait même capable de contrôler toutes les énergies de sa galaxie.
Dans mon livre ‘“Nutze die taeglichen Wunder’, je cite un exemple. Chaque fois qu’un grand nombre de personnes concentrent leur attention ou leur conscience sur quelque chose comme Noël, la coupe du monde football ou les funérailles de Lady Diana en Angleterre, un certain nombre aléatoire de générateurs dans les ordinateurs commencent à donner des numéros ordonnés plutôt qu’aléatoires.
Un groupe de conscience ordonné crée l’ordre dans tout son environnement ! (1)
Lorsqu’un grand nombre de personnes se rassemblent de façon très proche, les potentiels de violence se dissolvent également. Il semblerait qu’ici aussi une sorte de conscience humanitaire soit créée.
Lors de la Love Parade, par exemple, où chaque année des millions de jeunes se rassemblent, il n’y a jamais eu d’émeutes brutales comme il peut s’en produire par exemple lors de manifestations sportives.
Le seul nom de l’évènement n’est pas considéré ici comme étant la seule raison. Le résultat de l’analyse indique plutôt que le nombre de personnes était TROP IMPORTANT pour permettre un basculement vers la violence.
Pour revenir à l’ADN : Il semble être également un supraconducteur organique qui peut travailler à la température normale du corps. Les supraconducteurs nécessitent des températures extrêmement basses de l’ordre de – 200 à – 140°C pour fonctionner. Comme nous l’avons appris récemment, tous les supraconducteurs sont capables de stocker de la lumière et donc des informations.
Ceci est une explication plus détaillée de comment l’ADN peut stocker les informations.
Il y a un autre phénomène lié à l’ADN et aux vortex (trous de vers). Normalement ces trous de vers super miniatures sont hautement instables et se maintiennent seulement pendant une infime fraction de seconde.
Sous certaines conditions (lire le livre de Fosar/Bludorf) des trous de vers stables peuvent s’organiser d’eux– mêmes pour former ensuite des domaines distincts de vide où par exemple la gravité peut se transformer en électricité. Les espaces du vide sont des boules auto–lumineuses de gaz ionisé qui contiennent des quantités considérables d’énergie.
Il y a des régions en Russie où ces boules lumineuses apparaissent très souvent. Après la confusion qui s’ensuivit, les Russes ont commencé des programmes de recherches massives qui ont fini par conduire aux quelques découvertes mentionnées ci–dessus. Nombreux sont ceux qui connaissent ces espaces de vide en tant que boules brillantes dans le ciel. En leur portant un regard attentif et en leur demandant ce qu’elles pouvaient être, j’ai alors pensé « Hello, là–haut. Si vous êtes un Ovni, volez en triangle. » Et soudainement, les boules de lumières se sont mises à voler en triangle.
Ou bien elles ont traversé le ciel comme des rondelles de hockey sur glace.
Elles ont accéléré de zéro à une vitesse folle tout en glissant doucement dans le ciel. Certains en restent bouche bée et comme beaucoup d’autres, j’ai pensé qu’elles étaient des Ovnis, apparemment amicaux, car elles volaient en triangle juste pour me faire plaisir.
Maintenant les Russes se sont aperçus que dans les régions où les espaces de vide apparaissent souvent, les boules de lumière volent parfois du sol vers le ciel et qu’elles peuvent être guidées par la pensée.
On s’est aperçu depuis que les espaces de vide émettent des basses fréquences comme celles qui se produisent également dans notre cerveau. Et en raison de cette similarité d’ondes, ces boules de lumière sont capables de réagir à nos pensées.
S’exciter sur une qui se situe au niveau du sol ne pourrait pas être forcément une très bonne idée car ces boules contiennent une énergie phénoménale et sont capables de faire muter nos gènes.
Il convient de dire qu’elles peuvent le faire, mais ce n’est pas nécessairement ce quelles font. De nombreux enseignants spirituels produisent en méditation profonde de telles boules visibles ou colonnes de lumière ou bien elles peuvent se manifester lors d’un travail énergétique qui déclenche des sentiments plutôt agréables et qui ne cause aucun dommage.
Apparemment, cela dépend également d’un certain ordre intérieur et de la qualité et de la provenance de cet espace de vide. Il y a quelques enseignants spirituels ( le jeune Anglais Ananda, par exemple) avec lequel on ne voit rien au premier abord, mais si on essaie de le photographier alors qu’il est assis, qu’il parle ou médite en hyper– communication, on obtient la photo d’un nuage blanc sur une chaise.
Dans certaines sessions de guérison Terrestre, ces effets de lumière apparaissent également sur les photographies.
Autrement dit, ce phénomène est dû aux forces de gravité et d’antigravité qui sont décrites précisément dans le livre ; et aux vortex (trous de vers) avec une hyper– communication encore plus stables et donc avec des énergies hors de la structure de notre espace/temps.
Les générations précédentes, qui sont rentrées en contact avec de telles expériences de télécommunication et de vide spatial visible, étaient convaincues qu’un ange apparaissait devant eux.
Et nous ne pouvons pas être sûrs des formes de conscience auxquelles nous avons accès lorsque nous utilisons l’hyper–communication. Ne pas avoir de preuve scientifique de leur existence réelle (les personnes qui ont de telles expériences NE souffrent pas toutes d’hallucinations), ne signifie pas qu’elles n’aient pas de contexte métaphysique.
Nous avons simplement fait un pas de géant dans notre compréhension de la réalité.
La science officielle reconnaît également des anomalies sur Terre (qui contribuent à la formation de vide spatial), mais seulement moins de 1%. Mais les anomalies gravitationnelles récentes passent de 3 à 4%. Un de ces endroits est Rocca di Papa, au sud de Rome (l’endroit exact est noté dans le l ivre ‘ Vernetzte Intelligenz’). Des objets ronds de toutes sortes, que ce soit des balles ou bien des bus entiers, dévalent…vers le haut. Mais cet endroit à Rocca di Pappa est plutôt restreint, et les sceptiques défiant la logique essaient encore de prouver la théorie de l’illusion d’optique (ce qui ne peut pas être le cas en raison des différentes caractéristiques de l’emplacement.)
Par Rusty James
http://rustyjames.canalblog.com
Trouvé sur : http://www.arcturius.org
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jeu.
23
nov.
2017
Alors, de quel type de conscience êtes-vous ? Qu'est-ce qui donne du sens à votre confusion ? Les yogis ont un symbole pour l'Être Humain : un arc de lumière qu'on appelle l'Aura. Elle est blanche et brillante. L'existence humaine dépend de cet arc.
Ce qui vous arrive dans la vie dépend de la force et de l'équilibre de cet arc. La plupart des gens ne le voient pas, et ne le comprennent pas; Si vous voyez l'aura, vous pouvez reconnaître l'état de santé ou de maladie , le type et l'intensité des émotions, et les capacités d'une personne.
Chaque Être humain est unique . Cette unicité est définie et protégée par le halo. Chaque énergie dans l'existence a son propre cycle d'entrées, de sortie et d'échanges. Cette existence doit interagir avec vous à travers le bouclier de l'Aura.
Chaque champ magnétique doit traverser le champ magnétique de votre halo. C'est la force du champ magnétique de votre halo qui détermine la façon dont le champ magnétique des autres choses et ou personnes, peut ou non le pénétrer et vous affecter.
Une question se pose. S'il y a une opportunité ou une vibration positive, est-ce que cet arc de lumière le réfléchira afin qu'il ne pénètre pas ? Non ! Cette énergie positive fusionnera avec lui et se reliera à la Terre. Si elle est négative, elle sera rejetée hors du halo. Celui dont les vibrations mentales forment un arc puissant protégera automatiquement toutes les zones fragiles de sa vie avec cet arc.
Vous êtes reliés aux émotions de façon différente selon que votre champ magnétique est fort ou faible. Lorsqu'il est faible, les émotions paraissent si vraies et si importantes que vous ne pouvez pas vous en détacher ou les diriger. Vous êtes assujetti à elles. Lorsqu'il est fort vous pouvez choisir d'exprimer l'émotion ou de la rediriger. Vous pouvez choisir de vous relier à quelqu'un ou de vous couper de son influence.
Quand votre rayonnement est fort et que vous le dirigez vers quelqu'un, celui-ci voudra vous parler et être prés de vous, malgré les obstacles ou les grosses différences de personnalité.
Quand une personne a l'énergie ou le pouvoir par sa psyché de se focaliser ou non sur les choses, elle n'a pas d'inquiétude à avoir. La projection de son champ magnétique organisera le rayonnement de son existence. Tous les champs magnétiques, qui, autour d'elle, composeront son environnement et ses opportunités, s'organiseront pour se mettre en relation et s'accorder les uns avec les autres. L'environnement procèdera en harmonie avec le but recherché.
On peut exprimer le même mécanisme dans le langage mystique de l'esprit. La personne qui en fait l'expérience par la foi dirait : "Quand la Source Divine qui prédomine chez l'Être humain projette la lumière de Dieu, toute obscurité disparaît. Où que cette personne aille, il y aura Lumière, Beauté, Générosité, et épanouissement." Ces deux explications expriment la même réalité, mais l'une en langage mystique et l'autre en langage technique.
Le Kundalini Yoga est la science du changement et du renforcement de votre rayonnement afin de vous donner une vie plus large et de plus grandes capacités.
Je vais vous donner un exemple de compréhension de comportement humain dans ces deux langages. Toutes les fois que la conscience individuelle, en rayonnant, sent une coupure ou un fléchissement dans dans une zone de rayonnement, la connexion qui pourrait être établie par ce rayonnement ne sera pas complète.
Quand il y a une coupure ou une dépression dans l'arc, vous ne pouvez pas rayonner correctement. Le cycle d'énergie- projection, connexion, réception- ne peut pas s'achever. Il n'y aura pas d'acte créatif, de succès ou de chance.
Qu'est-ce qu'une coupure ? Une coupure est une déchirure ou une division de votre énergie de rayonnement dans l'arc de l'aura. (...)"
Yogi Bhajan- The Aquarian Teacher
Cours Collectifs de Kundalini Yoga :
Paris 1er-Centre 35 rue St Roch (M° Pyramides 7, 8, Tuileries 1)
Les Jeudis de 13h à 14h -
Tarifs 20€ / cours
sam.
30
sept.
2017
Méthode
Sur la base de pratiques éprouvées de longue date, il s’agit d’orienter notre sensibilité vers la compréhension de la nature de l’esprit. Les différents exercices concernent « le corps, la parole, et l’esprit » à travers des postures, respirations et méditations tantôt recueillies et tantôt dynamiques. Elles sont accessibles à tous, avec ou sans souplesse, jeunes ou vieux, connaissant ou pas le yoga.
On y trouve des pratiques de Hatha et Kundalini Yoga (non exhaustif), la réalisation de mudra (symboles gestuels), des méditations comme la présence au souffle, au mouvement ou encore à l’espace physique et spirituel, des relaxations, des massages, des pranayama (techniques respiratoires), et tout un travail sur les nadi (canaux subtils) et les chakra (vortex énergétiques du corps/esprit), sur les mantra (sons primordiaux), sur les visualisations (représentations symboliques actives)…
C’est une voie complète dont la singularité est de prendre appui sur une double expérience : l’Amour-Vacuité.
Nous ne pratiquons pas uniquement pour nous-même mais pour la totalité des êtres sensibles, perçus comme des « partenaires » dont nous nous sentons solidaires, même s’ils ne font rien ou s’entretuent. Et nous orientons notre esprit vers la compréhension de la nature des choses et des êtres, au-delà des vérités relatives et illusoires, la sagesse ultime. La compassion nous guide vers la sagesse, et la sagesse vers l’amour : c’est un merveilleux tandem !
Il est dit que nous sommes éveillés depuis l’origine mais que cette réalité est masquée sous d’épais voiles d’obscurcissement. Graduellement, nous devons dissiper ces voiles, un à un, et entrer dans l’espace de la conscience illuminée qui soutient nos expériences ordinaires. Finalement, tout est différent. Et à jamais.
Le point de départ consiste en la prise de conscience de notre insatisfaction fondamentale fondant de nos existences sujettes à l’impermanence et aux changements. Il est important de pouvoir vivre une authentique expérience d’amour et de compassion envers le samsâra (les six états d’existence) et les êtres qui le composent.
C’est sur ce fondement, sur cet « état d’esprit » que reposent les exercices de yoga brièvement plus avant. Les voiles se dissipent naturellement à travers ces pratiques : le voile des émotions perturbatrices, puis celui du karma, puis celui de nos tendances fondamentales, et enfin celui de la saisie dualiste, ce dernier étant à la base de toute la confusion ordinaire et de ses souffrances..
Bienfaits
Lorsque l’obscurité des voiles se dissipe, les souffrances du corps et de l’esprit tendent à réduire spontanément jusqu’à disparaître un jour. Le bonheur et la félicité commencent à luire et à s’inscrire dans le courant de la vie quotidienne.
Quand ces voiles sont complètement dissipés, nous faisons l’expérience directe de la nature essentielle de notre esprit (Bodhi). Tous les êtres vivants sont fondamentalement doués de cette Bodhi. Nous pouvons la comparer au ciel pur, continument immaculé et ne changeant pas de nature malgré les nuages qui le traversent. L’essence de notre esprit est non-née, bien au-delà de ces nuages émotionnels et mentaux qui le parcourent.
Malgré la nécessité graduelle de la pratique, nous ne sommes pas toujours obligés d’attendre un temps infini pour en arriver à cette dissipation des voiles : la conscience étant de la nature de cet espace sans limite ni temps, le premier bienfait des Six Yoga de Naropa est d’introduire l’esprit à cette nature, même en la présence de voiles. C’est au contraire cette introduction qui conduira le pratiquant sur le chemin de sa délivrance. En effet,
tout est là et disponible !
C’est le mantra de notre atelier. La réalisation de la sagesse/vacuité nous mène vers l’expérience consciente et puissante du corps semblable à un arc-en-ciel, de la parole semblable à l’écho dans la montagne, de l’esprit semblable à l’espace sans limite.
La réalisation de l’amour inconditionnel nous apporte le pouvoir d’aider les êtres sans retenue tout en nous sentant totalement UN avec le Cosmos.
La purification des éléments fondateurs (tattva) nous rend invincibles, même au-delà de la mort.
Ce Yoga apporte longévité et absence de maladies. Ce sont pourtant des résultats mineurs (et déjà bien appréciables !) Il nous conduit aussi vers le bien-être, l’intelligence, le bonheur, et prépare aussi une meilleure renaissance, humaine ou divine. Et ce sont là des résultats intermédiaires. Ultimement, le bienfait suprême est de mettre fin définitivement à l’obscurcissement et aux causes de la souffrance grâce à l’émergence de notre propre Bodhi.
Certes, le « grand éveil » n’est pas toujours le souhait de chacun. Pour autant, il est présent comme un diamant dans son écrin, même en pratiquant distraitement ou sans conviction. C’est le principal bienfait des Six Yoga de Naropa, un Dharma ouvert et répondant à toutes les motivations, des plus triviales aux plus spirituelles.
Source : http://www.clairelumiere.net/methode-bienfaits-yoga-tibetain/
mar.
02
mai
2017
" L'étude d'animaux sauvages en captivité montre que quelque soit les soins et l'amour qu'on leur apporte dans les zoos, ils se révèlent incapables de se reproduire, leur appétit et leur besoin de repos se dérèglent, ils sombrent dans la léthargie, la morosité, ou une agressivité sans objet.
Les zoologistes appellent cela la " dépression animale" .
Chaque fois qu'on met en cage un animal, ses cycles naturels de sommeil, de reproduction et autres se détériorent . Il s'ensuit un vide, non pas au sens positif du concept bouddhiste, mais au sens de l'enfermement dans une boîte hermétiquement close.
Aussi, quand une femme vient de faire partie de la maisonnée d'une vieille femme sèche, elle fait l'expérience d'une absence de détermination, d'un ennui, d'une dépression et d'états d'anxiétés soudains semblables à ceux manifestés par l'animal capturé et traumatisé.
En acceptant d'être trop " bien élevée" , elle laisse ses instincts _l'instinct de jouer, de se lier, de faire face, de vagabonder et autres _plonger au plus profond de l'inconscient, hors de sa portée. Ses instincts sont endommagés. Ce qui devrait lui venir naturellement ne lui vient pas du tout ou alors après un combat avec elle-même.
Quand j'applique le terme de " capture " à l'excès de domestication, je ne fais pas allusion à la socialisation, qui est le processus par lequel les enfants apprennent à se comporter d'une façon plus ou moins civilisée. Le développement social est d'une extrême importance et la femme qui en serait privée ne pourrait faire son chemin dans le monde. Mais trop domestiquer équivaut à interdire à l'essence de la vie de danser.
Dans son état naturel, le soi sauvage n'est ni docile, ni vide. Il est alerte, il réagit à tout et à tout moment. En aucun cas, il n'est enfermé dans un schéma répétitif. Il a le choix, au contraire de la femme dont les instincts sont endommagés, qui, elle, est bloquée.
Il y a plusieurs façons d'être bloquée. En général, la femme dont les instincts sont endommagés, a du mal à demander de l'aide et à reconnaître ses propres besoins.
Elle n'a plus guère l'instinct de fuir et chez elle la sensation de satiété, la méfiance, le soupçon, le désir d'aimer librement, totalement, sont inhibés ou exagérés.
Comme dans le conte, l'une des attaques les plus insidieuses auxquelles le soi sauvage doit faire face est d'être poussé à agir correctement, avec une récompense à la clé ( qui viendra où ne viendra pas ) .
Cette méthode peut _ je dis bien " peut "_ inciter une petite fille a ranger sa chambre ("Tu ne joueras pas tant que ton lit n'est pas fait") mais jamais, au grand jamais, elle ne pourra fonctionner quand il s'agit de la vie fondamentale d'une femme.
Même s'il faut de la cohérence, du suivi, de l'organisation dans la vie créatrice, l'injonction de la vieille femme à bien se tenir tue dans l'oeuf toutes les possibilités de développement . C'est le fait de jouer et non le fait de bien se tenir qui est le cœur, l'artère principale de la vie créatrice.
Le besoin de jouer est un instinct. Sans jeu, il n'existe pas de vie créatrice. Pas de vie créatrice si l'on est sage, si l'on se tient tranquille. Tous les groupes, sociétés, institutions, organisations qui encouragent les femmes à rejeter l'excentricité, tout ce qui se montre soupçonneux à l'égard de la nouveauté, de l'inhabituel tout cela appelle une culture de femmes mortes.
Quand les femmes sont aux prises avec une obsession, ou lorsqu'elles se trouvent enfermées dans les schémas néanmoins destructeurs, il ne faut pas négliger la possibilité d'un endommagement de leur instinct. Le premier pas vers la restauration de ce dernier se fait par la reconnaissance de la capture, puis de la famine de l'âme et du bouleversement des limites habituelles de la perspicacité et de la protection. Il faut inverser le processus. "
" Femmes qui courent avec les loups " Clarissa Pinkola Estés
ven.
17
févr.
2017
« Le mot Miracle était si souvent dans l’air ces derniers mois comme quelques couronnement qui m’attendrait quelque part. Il hantait les livres, les pensées, les Cœurs. Je sais maintenant que ce chant de conscience s’est bel et bien constitué. Il ne consiste pas dans une séquence de gestes attendus, comme de rouler son matelas sous le bras et de rentrer chez soi d’un pas leste ; non c’est un miracle plus inattendu encore . Il est autour de moi comme une senteur qui pénètre tout. Il est contenu entier dans ce sublime mot ancien : béatitude. Il me recouvre toute entière.
Qui eût pu soupçonner qu’au Cœur d’une aussi difficile épreuve se soit lovée la merveille des merveilles ? Pour combien de temps, je l’ignore à part qu’elle est là, palpable comme un corps aimé, caressable comme une peau, dont les doigts portent l’indélébile mémoire.
Quel univers est-ce que je fais vaciller en écrivant cela ? Et me croira t-on, mais peu importe, si je dis que je n’ai jamais été plus heureuse que maintenant ?
De toutes mes heures, de tous mes jours, de toute ma vie, je dépose ces mots au pieds de la page avec la plus extrème simplicité. Je ne veux, ce faisant, rien prétendre, rien prouver. Je remercie seulement ceux qui me lisent, de recevoir ces paroles avec la même simplicité que celles avec lesquelles je les laisse ce soir, couler de ma plume. "
« N’appelle pas Dieu à voix haute
Sa Source est en toi
Et si tu n’obstrues pas le passage,
Rien n’en suspend la coulée. »
Angelus Silesius
Christiane Singer – Derniers fragments d’un long voyage
« Une personne pleine de vie n’aura pas peur de la mort parce qu’elle vit ! Lorsque vous vivez vraiment votre vie, la peur de la mort n’existe pas. Vous pouvez même vivre la mort. Quand la mort s’approchera, vous y serez tellement sensibles, que vous la vivrez dans la joie. Elle sera une expérience merveilleuse. Si vous êtes pleins de vie, vous pouvez même vivre la mort et alors la mort n’existe plus. Si vous pouvez même vivre la mort, si vous pouvez même être sensibles à votre corps qui meurt, et que vous vous retirez vers le centre et que vous vous dissolvez , si vous pouvez même vivre cela, vous êtes devenus éternels. »
Osho _ Intuition
sam.
05
nov.
2016
« Personne n'est ce que l'existence voulait qu'il soit. La société, la culture, la religion, l'éducation, toutes ont conspiré contre les enfants innocents. Elles ont tous les pouvoirs. Parce que l'enfant est démuni et dépendant, elles parviennent à faire de lui ce qu'elles veulent. Elles ne lui permettent pas d'accomplir sa destinée naturelle. Tous leurs efforts, consistent à faire des êtres humains, des commodités.
Si on laisse un enfant grandir tout seul, qui sait s'il sera d'une quelconque utilité aux intérêts en place ?
La société n'est pas prête à prendre le risque . Elle s'empare de l'enfant et commence à le modeler pour qu'il lui soit utile. D'une certaine manière, ça tue l'âme de l'enfant. On lui donne une fausse identité, pour que son âme, son être, ne lui manque pas. Mais ce substitut n'est utile que dans la foule qui vous l'a donné. Au moment où vous êtes seul, le faux commence à s'effondrer et le réel réprimé commence à s'exprimer.
D'où la peur d'être seul.
Personne ne veut être seul. Tout le monde veut appartenir à une masse. À de nombreuses masses (...) Au moment où l'on est seul(e) on se met à ressentir une étrange folie. Pendant tant d'années, vous avez cru être quelqu'un et tout à coup, dans un moment de solitude, vous commencez à ressentir que ce n'êtes cela. Cela crée de la peur : Alors qui êtes-vous ? Et des années de répression...
Pour que le réel s'exprime, il faudra du temps. Cet espace entre les deux a été appelé par les mystiques "La nuit noire de l'âme"_ une expression très appropriée ! Vous n'êtes plus le faux et vous n'êtes pas encore le réel. Vous êtes dans les limbes. Vous ne savez pas qui vous êtes.
En Occident, le problème est encore plus compliqué car on n'y a pas encore développé de méthodologie pour découvrir le réel aussi vite que possible, afin de pouvoir écourter "la nuit noire de l'âme". L'Occident ne connaît rien de la méditation.
Et, méditer n'est que le nom que l'on donne au fait d'être seul, silencieux, en attente de l'affirmation du réel.
Ce n'est pas un acte : c'est une relaxation silencieuse : quoique vous "fassiez", cela viendra de votre fausse personnalité...
Depuis tant d'années, toutes vos actions en sont issues. C'est une vieille habitude, les habitudes meurent difficilement. Vous avez vécu tant d'années avec une fausse personnalité imposée par ceux que vous aimiez, que vous respectiez... et ils ne vous faisaient pas de mal intentionnellement. Leurs intentions étaient bonnes, mais leur conscience étaient tout simplement nulle. Ils n'étaient pas conscients, vos parents, vos enseignants, vos prêtres, vos politiciens. Ce n'étaient pas des personnes conscientes, ils étaient inconscients. Et dans les mains d'une personne inconsciente, même de bonnes intentions s'avèrent être un poison.
Ainsi quand vous êtes seul, une peur profonde surgit : tout à coup, le faux se met à disparaître. Et le réel va prendre un petit peu de temps_ il y a tant d'années que vous l'avez perdu. Vous devrez considérer le fait qu'un fossé creusé depuis tant d'années doit se combler. Pris par cette peur : "Je me perds, je perds mon bon sens, ma santé mentale, mon esprit, tout". Le soi que les autres vous ont donné consiste en tout cela,_ vous avez l'impression de devenir fou. Vous vous mettez immédiatement à faire quelque chose pour rester occupé. Si personne n'est là, il y a au moins l'action. Le faux reste donc occupé, il ne disparaît pas.
C'est pourquoi les gens trouvent les vacances très difficiles. Ils travaillent pendant cinq jours dans l'espoir de se détendre le week-end. Mais le week-end est le moment le plus difficile au monde : la plupart des accidents graves surviennent pendant le week-end . C'est étrange ... car pendant ces cinq jours où les gens étaient occupés, il n'y avait pas de problèmes. Soudain, le week-end leur donne un choix : s'occuper à quelque chose ou se détendre. Mais se détendre est effrayant : la fausse personnalité disparaît. Restez occupé, faîtes n'importe quoi de stupide. (...)
La foule est essentielle pour que le faux-soi puisse exister. Au moment où vous vous sentez seul, vous « perdez les pédales ». C’est là où l’on devrait comprendre un peu la méditation. Ne vous faites pas de soucis, ce qui peut disparaître peut simplement disparaître_ cela en vaut la peine. Cela n’a pas de sens de s’y accrocher. Ce n’est pas vous. Ce n’est pas à vous !
Quand le faux disparaît, vous êtes cet être frais, innocent, non pollué qui surgit à sa place. Personne d’autre ne peut répondre à la question : « qui suis-je ? » _ C’est vous seul qui le saurez.
Toutes les techniques de méditation aident à détruire le faux. Elles ne vous donnent pas le réel_ le réel ne peut pas être donné. Ce qui peut être donné ne peut pas être réel ; _ le réel, vous l’avez déjà. Il faut simplement retiré le faux. D’une autre manière, on peut dire : un Maître vous retire des choses que vous n’avez pas vraiment et il vous donne, ce que vous avez réellement.
La méditation, c’est juste le courage d’être seul(e) et silencieux.
Tout doucement, vous vous mettez à ressentir une nouvelle qualité en vous-même, une nouvelle vitalité, une nouvelle beauté, une nouvelle intelligence. Elle n’est empruntée à personne, elle grandit en vous. Elle a ses racines dans votre existence même. Et si vous n’êtes pas un lâche, elle fleurira. Elle portera ses fruits. (…)
Il n’est pas nécessaire d’avoir peur. Vous ne pouvez perdre que ce qui doit être perdu. Et il est bon de le perdre rapidement, car plus cela reste longtemps, plus cela devient fort. On ne sait rien du lendemain. Ne mourez pas avant de réaliser votre être authentique. Seuls ont de la chance, les quelques rares êtres qui ont vécu en tant qu’êtres authentiques et qui sont morts en tant qu’êtres authentique, parce qu’ils savent que la vie est éternelle et que la mort est une fiction. »
Merci Osho
Accompagnement pour méditer ou pour traverser « la nuit noire de l’âme »
Séances à Paris ou par téléphone. + D'infos
Angélique Thiriet
sam.
08
oct.
2016
La non-reconnaissance de la nature animiste de notre univers est un des obstacles majeurs empêchant la science occidentale de comprendre la conscience.
Si nous pensons que tout est mort, nous nous séparons du Tout . Avec ce point de vue, il est très difficile d'investiguer la conscience ou alors comme quelque chose de séparé de notre propre Être. Depuis le très peu que j'ai appris, et ça semble clair, que la place pour investiguer la conscience est depuis l'intérieur, ce qui veut dire, depuis ma propre connexion avec la conscience.
Quelque chose de si beau, si profond, si englobante et compassionnée que la conscience elle-même, ne peut pas être étudiée dans son entier avec la seule approche scientifique occidentale.
Les scientifiques de l'Orient ont étudié la conscience depuis plusieurs milliers d'années, et les chamans, en étant dans les états de conscience chamaniques, ont étudié la conscience depuis peut-être des centaines de milliers d'années ou plus. Les résultats de ces études montrent clairement l'inter-relation de la vie et de la conscience. La vie est conscience. Tout est vivant. Tout a une conscience, et c'est cette conscience qui nous lie tous ensemble.
" Non-recognition of the animistic nature of the Universe is one of the major stumbling blocks which keeps western science from understanding consciousness. If we think everything is dead, we separate everything from us. With this point of view it is very difficult to investigate consciousness except as something removed from our own being. From the very little I've learned it seems clear that the place to start to study consciousness is from the inside, that is, from my own connection to consciousness. Something so beautiful, so deep, so all-encompassing as consciousness cannot be fully studied with only a western scientific approach. The scientists of the East have been studying consciousness for several thousands of years, and shamans, by moving into and with shamanic states of consciousness, have been studying consciousness for perhaps a hundred thousand years or more. The results of these studies clearly show the inter-relationship of life and consciousness. Life is consciousness. Everything is alive. Everything has consciousness, and it is this consciousness which joins us all together."
This paper was originally written for the meeting of
the Society for the Anthropology of Consciousness From http://www.shamanism.dk/shamanicconsciousness.htm
held in Tucson, Arizona, April, 2000
jeu.
06
oct.
2016
Par Bobby Azarian
Docteur en neurosciences et créateur du blogScience Is Sexy
"La science n'est pas seulement compatible avec la spiritualité.
C'est une source profonde de spiritualité." Carl Sagan
SCIENCE - Il semblerait que nous entrions dans une période inédite de l'histoire de l'Homme et de la science: une époque où mesures empiriques et raisonnements déductifs peuvent nous fournir des informations d'ordre spirituel. La récente théorie de l'information intégrée (TII), développée par les neuroscientifiques Giulio Tononi et Christof Koch, décrit la manière de mesurer expérimentalement le degré de conscience d'un système.
À ce titre, elle pourrait potentiellement répondre à des questions qui paraissaient autrefois insolubles. Par exemple: "Qui, de la chauve-souris ou du scarabée, est le plus conscient?" De plus, cette théorie suppose que tout système capable de traiter et d'intégrer des informations, qu'il soit organique ou inorganique, observe le monde avec un certain degré de subjectivité. Les plantes, les smartphones, internet et même les protons en sont de multiples exemples. Le résultat, c'est un cosmos composé de matière consciente. Mais avant d'appréhender toute la bizarrerie de cette idée, parlons un peu de la manière dont nous en sommes arrivés là.
Déclin et chute de la mystique
Tandis qu'une partie de plus en plus vaste du monde naturel se trouve décrite de manière objective et empirique, on assiste au déclin de plus en plus rapide des croyances en l'existence de tout ce qui va à l'encontre des explications scientifiques actuelles. La majorité des diplômés de l'enseignement supérieur n'acceptent plus les explications surnaturelles ou magiques que les livres sacrés donnent à des processus physiques. Pas plus qu'ils ne croient en l'existence réelle, après la mort, de royaumes mystiques offrant bonheur ou punition éternels aux "âmes" des justes ou des méchants.
Tout cela s'explique par la capacité remarquable de la science moderne à expliquer des phénomènes qu'on croyait auparavant inexplicables. Aujourd'hui, la science a décrit à peu près tout ce qui peut l'être. Nous comprenons la naissance des trous noirs, et leur place dans la géométrie de l'espace-temps. Nous savons comment peuvent évoluer de nouvelles espèces vivantes, et les règles statistiques qui gouvernent ces processus. Nous appréhendons même assez bien le moment exact où l'univers a commencé à exister, et avec lui l'ensemble du monde réel! Mais aucun scientifique sérieux et bien informé ne vous dira qu'en l'état actuel, nous comprenons complètement ce que chacun d'entre nous connaît le mieux: notre propre conscience.
L'un des derniers grands mystères de la science
Malgré toutes nos avancées depuis l'époque de Descartes, qui avait posé comme principe que la conscience est en réalité une sorte d'esprit immatériel non soumis aux lois physiques, nous ne disposons toujours pas d'une explication scientifique complète et satisfaisante de la connaissance. Nous sommes tout simplement incapables de la quantifier. Et dans ces conditions, comment savoir si les êtres vivants non humains, qui ne peuvent communiquer avec nous, sont également conscients ? Les chats sont-ils capables de ressentir et de penser ? La plupart des gens diront probablement que oui. Mais alors, qu'en est-il d'une coccinelle? Et si c'est le cas, comment savoir quels êtres vivants ont une plus grande conscience que les autres ? Les animaux dotés d'une mémoire très développée et d'un comportement d'une impressionnante intelligence, comme les dauphins ou les corbeaux, ont-ils une perception du monde unifiée et consciente, et donc semblable à la nôtre ? Il est quasiment impossible de répondre à ces questions si l'on ne peut mesurer la conscience. Fort heureusement, une théorie neuroscientifique de plus en plus partagée compte justement s'y atteler.
La nouvelle arme secrète: la théorie de l'information intégrée
La théorie de l'information intégrée, sujet assez brûlant dans les neurosciences actuelles, affirme fournir une manière précise de mesurer la conscience et d'exprimer ce phénomène en termes purement mathématiques. Cette théorie, développée par Giulio Tononi, psychiatre et neuroscientifique, s'est attiré les faveurs de scientifiques renommés dont Christof Koch, directeur des études neuroscientifiques de l'Institut Allen, qui défend à présent cette idée, au même titre que Tononi. Le fait d'armes le plus connu de Koch est sans doute d'avoir propulsé les recherches sur la conscience au premier rang de la neuroscience, grâce à sa longue collaboration avec feu Francis Crick, codécouvreur de la structure de l'ADN. À présent, Tononi et Koch se consacrent à cette théorie, épaulés par un nombre croissant de scientifiques, dont certains sont issus d'autres domaines que la neuroscience. Comme Max Tegmark, physicien de renom et auteur à succès, qui a rejoint les rangs de ceux qui pensent avoir découvert comment l'un des plus grands secrets de la science peut être ramené à des nombres. Ou, plus exactement, ramené à des informations exprimées en bits.
Nous savons donc, à présent, que d'éminents scientifiques considèrent qu'il s'agit d'une théorie très importante. Mais comment, exactement, la TII s'efforce-t-elle de quantifier une chose aussi mal définie et apparemment difficile à appréhender que la conscience ?
La TII en deux mots
Comme un ordinateur, le cerveau enregistre et traite des informations. Mais c'est la manière dont celles-ci sont partagées dans l'ensemble des réseaux cérébraux qui génère une expérience consciente aussi riche et aussi puissante. Considérons l'observation d'un coucher de soleil. Grâce aux avancées de l'imagerie cérébrale, la neuroscience moderne nous apprend que cet événement implique un certain nombre de régions distinctes, dont chacune traite séparément des informations sur différents aspects de l'événement. Une région du cortex visuel (connue sous le nom de "V2") traite la forme et la couleur des rayons jaunes et orange sur les nuages. Des aires auditives dans le lobe temporal reçoivent des informations sur le bruit du vent qui souffle autour de vous tandis que vous fixez l'horizon. Ce vent qui souffle contre votre peau génère également dans le cortex somatosensoriel des ensembles de signaux électriques qui vous donnent une sensation de caresse. Des tas de choses différentes se passent dans des endroits très éloignés les uns des autres.
Et pourtant, nous percevons tout cela comme une même expérience consciente et unifiée.
Selon la TII, cette expérience unifiée repose sur la capacité du cerveau à fusionner (ou intégrer) en un tout cet afflux d'informations sensorielles. Pour mesurer le degré de cette intégration, Tononi a fait appel aux principes mathématiques formulés par l'ingénieur américain Claude Shannon - qui avait développé vers le milieu du XXe siècle une théorie scientifique de l'information destinée à décrire la transmission de données - et les a appliqués au cerveau. Pour la TII, ces mesures d'informations permettent de calculer un nombre exact correspondant au degré d'information intégrée existant à un instant T dans le cerveau. Tononi a choisi d'appeler cette unité métrique "Phi" (ou Φ), ce qui sert d'indice de conscience. Plus le Phi est élevé, plus le système est conscient. Peu importe qu'il s'agisse du système nerveux d'un enfant, d'un chat ou même d'une coccinelle.
Alors, problème résolu ?
Tout ça paraît tout simple, non ? C'est ce que la science a toujours cherché à comprendre: décrire les choses objectivement, et dépouiller de tout mystère des phénomènes naturels dont nous n'avons qu'une compréhension très floue. Cela permettra-t-il de démystifier la conscience, sujet sur lequel les philosophes se sont affrontés pendant des siècles? Tout cela répond indéniablement à des questions très importantes, mais quand on pousse le raisonnement jusqu'au bout, tout devient franchement bizarre... et aussi, il faut bien le dire, assez bluffant. Mais avant d'arriver aux conclusions bizarres, commençons par les questions du même type, que les sciences physiques modernes ont globalement ignorées et qui peuvent, au premier coup d'œil, sembler assez banales.
Des questions difficiles
Comment le traitement physique d'une information peut-il créer une expérience intérieure subjective ?
Comment la matière peut-elle avoir un point de vue subjectif ?
Comment de simples signaux électriques peuvent-ils produire des sensations qualitatives et une connaissance des choses ?
Et, surtout, pourquoi l'information devrait-elle impliquer un "ressenti" ?
Ces questions sont quasiment synonymes, et définissent ce que les philosophes ont surnommé le "problème difficile de la conscience", un concept adopté par de nombreux neuroscientifiques. Inversement, le "problème facile" (bien que celui-ci soit, lui aussi, extrêmement complexe) est de découvrir tous les mécanismes quantitatifs et cognitifs qui entourent la conscience, ce qui est tout à fait différent de la simple description d'une expérience. La science ne s'était jusqu'ici consacrée qu'à la résolution des questions liées au "problème facile de la conscience". Certains croient toujours que les questions qui touchent aux expériences subjectives ne peuvent recevoir de réponse quantitative, et ne s'appliquent donc qu'à la philosophie. D'autres gèrent cette situation en refusant carrément d'admettre l'existence de la conscience! Cependant, la réalité de la conscience parle de soi, et la nier reviendrait à nier sa propre existence. Le côté unique de la TII, c'est qu'elle reconnaît la conscience comme un phénomène réel, descriptible de manière objective et mathématique.
La TII répond-elle vraiment au "problème difficile de la conscience", c'est-à-dire à la manière dont le domaine physique engendre une expérience subjective ?
En deux mots: pas vraiment.
Le cerveau enregistre et traite des informations. Comment et pourquoi celles-ci prennent les caractéristiques d'un "ressenti"? Cela reste un mystère. La TII nous dit comment mesurer le degré de conscience, mais pas comment différents types d'informations sont liés à différentes sensations subjectives, allant de la brûlure d'une flamme à l'orgasme. Comme l'a déclaré le philosophe Ned Block, il se pourrait que le Phi soit lié à la conscience, sans jouer un rôle quelconque.
Comment les partisans de la TII expliquent-ils la subjectivité ?
Christof Koch vous répondrait: la conscience est une propriété fondamentale de l'univers. Là où il y a des informations intégrées, il y a une expérience. La théorie considère son existence comme avérée, et n'est donc pas obligée d'en expliquer le mécanisme. C'est un fait naturel: l'information a un aspect interne, en plus de son côté externe composé de bits.
Suivons la logique de cette idée, histoire de voir si elle tient la route. Nous savons que certains états de conscience sont liés à des sensations. Or, ces états ne sont que des états d'information. Par conséquent, l'information est liée à un ressenti. Voilà qui paraît solide. Selon la TII, les mammifères inférieurs tels que les chats possèdent une expérience consciente, tout comme les insectes, même à un niveau minime. Une telle idée semble intuitive. Pourquoi y aurait-il une sorte de frontière magique à partir de laquelle un système nerveux deviendrait spontanément conscient, comme en pressant un bouton? Il est plus probable qu'il existe un continuum de l'expérience. Celui-ci évolue probablement selon un gradient, allant des sensations brutes et très simples des organismes unicellulaires à la connaissance qualitative plus complexe des humains. Mais qu'en est-il des systèmes non biologiques qui intègrent des informations ?
C'est là que ça devient bizarre
Ce qu'il y a d'intéressant dans la TII, c'est qu'elle ne suppose pas que toute entité consciente est nécessairement un organisme vivant. Tout système capable d'intégrer des informations, qu'il soit fait de carbone ou bien composé de puces en silicone et de fils métalliques, devrait produire des états de conscience. Comme les processeurs d'informations, les ordinateurs modernes possèdent, dans une certaine mesure, une connaissance, mais vraisemblablement tellement réduite qu'elle pourrait être indétectable par un observateur humain. En fait, selon la TII, votre iPhone a bel et bien des ressentis. Voilà qui devrait satisfaire les chercheurs dans le domaine de l'intelligence artificielle, qui espèrent souvent que leurs créations soient un jour "vivantes". Dans notre monde régenté par la technologie, la TII révèle que la conscience se trouve à la fois dans nos foyers et dans nos mains.
Même si tout cela pourrait sembler assez étrange, l'idée que des machines peuvent être conscientes n'est peut-être pas complètement inimaginable, au vu de tous les robots dotés de conscience que la science-fiction a instillés dans nos esprits. Peut-on aller plus loin ?
Bien sûr.
Si vous êtes très intelligent (ou en train de planer), peut-être avez-vous brièvement songé, d'une manière ou d'une autre, à la question suivante en lisant ce qui précède: les êtres humains ne passent-ils pas leur temps à échanger des informations via un réseau global d'ordinateurs, qui enregistrent et intègrent collectivement des informations de manière complexe? Faisons donc un saut dans l'inconnu.
Internet prend vie
Si nous prenons la TII au sérieux, il nous faut admettre qu'un système comme internet peut posséder des états de conscience semblables à ceux d'un système nerveux biologique, tant que les informations y sont intégrées de façon similaire. Christof Koch lui-même a étudié cette possibilité.
"Réfléchissons à la création la plus vaste et la plus complexe du genre humain: internet. Celui-ci est composé de milliards d'ordinateurs reliés par des fibres optiques et des câbles en cuivre, qui créent des connexions spécifiques grâce à des protocoles de communication ultrarapides. Chacun de ces processus est lui-même composé de quelques milliards de transistors. Internet doit avoir en tout environ 10 puissance 19 transistors, soit l'équivalent du nombre de synapses dans les cerveaux de 10 000 personnes. Par conséquent, en nombre de composants, il dépasse largement n'importe quel cerveau humain. Internet a-t-il une certaine forme de conscience? Il n'y a, aujourd'hui, pas de réponse à cette question. C'est cependant tout à fait concevable."
Pour le moment, il semble hautement improbable qu'internet possède une connaissance de soi similaire à la nôtre. Nos cerveaux sont façonnés par l'évolution depuis des millions d'années, ce qui a développé et peaufiné leurs capacités à traiter l'information. Néanmoins, l'idée d'une Toile dotée de conscience est certainement envisageable.
Une conscience collective basée sur l'information
Eh oui. Cette théorie admet la possibilité de l'émergence d'un "superorganisme" abstrait, composé de multiples individus. Beaucoup de questions déconcertantes en découlent.
Si le Web devait pour ainsi dire se "réveiller", montrerait-il des formes apparentes de comportements observables, unifiés et coordonnés ?
Ou ne serions-nous, sans le savoir, qu'un élément d'un plus vaste système, tout comme un neurone n'a pas connaissance de sa contribution dans la formation d'un état mental? Envisager l'idée d'une entité vivante possédant à peu près toutes les connaissances accumulées par l'humanité n'est pas seulement amusant, mais aussi productif d'un point de vue scientifique.
En théorie, il n'y a quasiment aucune limite à la croissance et à l'évolution d'un système entièrement conscient dans l'espace. Celle-ci ne dépend que du taux de croissance de l'information et de la complexité, qui, comme nous l'avons vu, a tendance à augmenter de manière exponentielle.
Jusqu'à présent, nous avons évoqué des consciences capables de couvrir de grandes distances sans aucune structure physique tangible. Mais qu'en est-il des agencements d'information invisibles à l'œil nu ?
Des protons qui ressentent
Selon la TII, tout ce qui est doté d'un Phi non nul possède une expérience subjective, y compris les particules subatomiques. Koch écrit:
"Même la matière la plus simple possède un petit peu de Φ [information intégrée]. Les protons et les neutrons sont composés d'une triade de quarks qu'on n'observe jamais de manière isolée. Ils constituent un système intégré infinitésimal."
Tout ceci a des conséquences très profondes. Cela signifie notamment que la conscience s'étend dans tout l'espace, comme un gigantesque réseau d'expérience. Bien entendu, le niveau de conscience est plus grand là où l'intégration de l'information est plus importante mais, en substance, "l'esprit" (ou la "psyché") est partout. La TII est en fait la version moderne d'une très ancienne doctrine philosophique appelée "panpsychisme". Mais avant de rejeter ce concept simplement en raison de son nom bizarre, il faut savoir que des penseurs de premier plan, tels que Spinoza, Leibniz ou James, sont considérés comme des panpsychistes. L'idée centrale de cette doctrine est que toute matière a un aspect mental, ce qui rend la conscience universelle. Toujours selon Koch :
"L'intégralité du cosmos regorge de conscience. Nous sommes entourés, immergés dans la conscience. Elle est dans l'air que nous respirons, le sol que nous foulons, les bactéries qui colonisent nos intestins, et le cerveau qui nous permet de penser."
Une nouvelle forme de spiritualité, dans les limites de la science
Jusqu'à présent, la TII est le meilleur exemple d'une doctrine scientifique se proposant d'offrir une description objective de la conscience. À ce titre, ses idées apparemment radicales méritent notre considération. Réfléchir à des questions que l'on pensait auparavant réservées aux fumeurs de pétards est à présent la tâche des plus brillants esprits scientifiques. La plupart des penseurs rationnels tombent d'accord sur l'absurdité du concept de dieu incarné, qui réprouverait la masturbation et perturberait régulièrement les lois de la physique en réponse à de simples prières. Cette théorie ne cherche pas à défendre une telle idée. Elle ne fait que révéler une harmonie sous-jacente dans la nature, et une présence mentale généralisée, qui ne s'arrête pas aux systèmes biologiques. Les conclusions logiques inévitables et les implications de la TII sont empreintes à la fois d'élégance et de précision. Elle est source d'une spiritualité scientifique d'un genre nouveau, dépeignant une existence pleine de spiritualité que même les matérialistes les plus convaincus et les plus fervents athées peuvent défendre sans complexe.
"La religion de l'avenir sera une religion cosmique. Elle transcendera l'idée d'un Dieu incarné, évitera les dogmes et la théologie. Couvrant à la fois le domaine naturel et spirituel, elle se basera sur un sentiment religieux, né de l'expérience d'une unité significative en toutes choses, naturelles et spirituelles." - Albert Einstein
Cet article, publié à l'origine sur le Huffington Post américain, a été traduit par Guillemette Allard-Bares pour Fast for Word.
mar.
09
janv.
2018
" La vérité, dit le Zen, n'a rien à voir avec les autorités, la tradition ou le passé. C'est une connaissance radicale et personnelle, une expérience individuelle. Il appartient à chacun de la découvrir. La connaissance primordiale est sûre. La quête de la vérité personnelle est une très grande insécurité. Personne ne peut vous garantir quoique ce soit. Si vous me demander des certifications, je vous répondrai que seuls les dangers sont certains. Je peux vous assurer que vous pouvez à tout moment vous égarer de votre route et que vous avez très peu de chances d'arriver au but. Mais une chose est sûre : le simple fait de chercher votre propre vérité vous fait grandir. Je peux vous garantir une croissance intérieure.
Il faudra affronter les dangers et faire des sacrifices, avancer chaque jour vers un terrain inconnu et imprévisible, et ce, sans carte routière, sans guide. Oui, ce sera laborieux et vous vous perdrez souvent, mais c'est la seule façon de mûrir. C'est en traversant l'insécurité que l'on grandit. Seul celui qui fait face aux défis de l'incertain apprend sa vérité intérieure.
Chaque fois que nous accédons à quelque chose de neuf et d'inconnu, avec la confiance d'un enfant innocent, ouvert et vulnérable, les moindres choses de la vie peuvent devenir les plus grandes aventures."
Osho
dim.
17
déc.
2017
« L’Amour est une ouverture dans un monde sans aucune limite, dans un monde qui ne se termine nulle part. L’Amour commence, mais ne se termine jamais. Il a un commencement mais pas de fin.
Souvenez-vous d’une chose : généralement, le mental interfère et ne permet pas à l’Amour son infinitude et son espace. Si vous aimez réellement une personne, vous lui donnez un espace infini. Votre Être lui-même est juste un espace pour qu’il puisse grandir, pour grandir avec lui. Le mental interfère et essaie de posséder la personne. Alors, l’Amour est détruit. Le mental est très avide. Le mental, c’est l’avidité. Il est extrêmement poison. Ainsi, si l’on veut s’engager dans le monde de l’Amour, il faut laisser tomber le mental. On doit vivre sans aucune interférence du mental.
(…) Méditer n’est rien d’autre que créer une situation dans laquelle le mental a de moins en moins de choses à faire. Vous n’avez aucune peur, vous êtes si aimant, vous êtes si paisible ; vous êtes tellement content avec ce qui se passe que le mental n’a plus rien à dire. Alors, peu à peu, le mental se retire et une distance de plus en plus grande se crée. Un jour, le mental se retire complètement alors vous devenez un univers. Vous n’êtes plus confiné à votre corps, vous n’êtes plus confiné à quoi que ce soit ; vous êtes un pur espace. L’Amour est un chemin vers ce pur espace (...)
sam.
16
déc.
2017
" Qu'on soit jeune, en pleine maturité ou d'un âge avancé, on a tous un corps de chair et d'os, de sang et de toutes sortes d'autres substances — un organisme complexe capable d'une multitude de sensations. On dispose également de la parole, cette capacité de parler et de communiquer au moyen de sons et de mots. Enfin, on est aussi doué de ce créateur de nos pensées et de nos sentiments, bons ou mauvais, qu'on appelle l'esprit. En ce qui nous concerne actuellement, le corps, la parole et l'esprit sont des réalités tangibles dont on fait l'expérience quotidiennement.
Le corps est l'instrument de notre activité, et il s'exprime par le mouvement. La parole produit les sons et les mots qui véhiculent ce qu'on veut exprimer. Quant à l'esprit, c'est lui qui anime les deux autres; il est la source de tout ce qu'on porte en soi de bon et de mauvais. Le corps et la parole sont un peu les pantins de l'esprit. Logiquement, cela voudrait dire qu'on peut leur faire faire ce qu'on veut, au gré de ses désirs. En fait, ça ne se passe pas du tout comme cela: on a tellement pris l'habitude de manipuler les gens et les événements qu'on a presque oublié les ficelles qui reliaient le corps et la parole à l'esprit, en nous-mêmes. Si bien qu'elles se sont distendues, et que le pantin ne répond plus très bien. On sent bien qu'il y a quelque chose qui cloche, on n'est pas satisfait du fonctionnement de la marionnette. On se sent frustré.
Idéalement, le corps devrait fonctionner en harmonie avec l'esprit, sans qu'il y ait de clivage entre eux. Mais, en réalité, si on se laisse aller à suivre les penchants les plus élémentaires de son corps, on risque de tomber dans une sorte de matérialisme axé sur la sensualité, dont il sera très difficile de s'extirper. Ce risque existe pour tout le monde, les faibles comme les forts, et il signifie la perte de sa liberté. Pour éviter un tel écueil, on doit retrouver l'usage des ficelles de la marionnette, et apprendre à la manipuler plus intelligemment, d'une manière qui corresponde mieux à nos aspirations réelles. A l'inverse, il ne faudrait pas tomber dans la répression systématique et aveugle de ses besoins physiques, car ils sont l'expression d'une certaine sagesse instinctive du corps. On peut apprendre à faire la différence entre ces messages naturels et utiles, et les caprices de nos sens.
Notre corps est un puissant moyen de communication. Si on voit arriver un chien et qu'on tend la main, l'animal s'approchera, s'attendant à ce qu'on le caresse ou qu'on lui donne quelque chose à manger. Si, au contraire, on avait levé la main quand il est arrivé, il est probable que le chien aurait rebroussé chemin, de peur qu'on ne lui fasse du mal. De même, le moindre de nos gestes affecte ceux qui nous entourent — et la même chose est vraie de ce que l'on peut dire ou penser. Tout ce qui émane de nous constitue une sorte de signal pour les autres. Il suffit de regarder un peu autour de soi pour s'en rendre compte. Quelque chose d'aussi simple que notre démarche, par exemple, véhicule un ensemble de signaux aux autres, que ce soit de façon délibérée ou inconsciente de notre part. Quelqu'un qui a du mal à marcher donne à penser qu'il a des rhumatismes ou qu'il a eu un accident à un moment ou à un autre de sa vie. Si l'on voit passer une femme - ou un homme - à la démarche élégante, on aura tendance à trouver ça sexy et à y lire une invite personnelle, alors que le passant ignore vraisemblablement tout de cette interprétation de ses mouvements. C'est pourquoi il est nécessaire d'être attentif à ses mouvements et à ses attitudes corporelles si l'on veut que les autres perçoivent nos bonnes intentions à leur égard. II faut rester vigilant, sachant que chaque geste affecte ceux avec qui l'on se trouve, et peut susciter des réactions de leur part.
Autant qu'à ses gestes, il faut faire attention à ses paroles. On doit toujours être très vigilant, tant par rapport à ce qu'on dit qu'à la manière de le dire. Le ton de la voix importe autant que le choix des mots. Des choses gentilles dites sur un ton sympathique auront un effet encourageant et réconfortant. On peut même soulager un peu quelqu'un qui souffre beaucoup si l'on sait trouver les mots qu'il faut pour le rassurer, ou grâce au pouvoir thérapeutique d'une prière ou d'un mantra. Autant que ce qu'on dit, c'est la façon de le dire qui est importante.
Derrière chacun de nos actes et chacune de nos paroles, il y a l'esprit. Peu importe de savoir où il se trouve - les uns le localisent dans le cerveau, les autres ailleurs. Là n'est pas la question pour l'instant. L'important, c'est de reconnaître que notre esprit est la source de tout ce qu'on peut dire ou faire. Il est capital de comprendre cela car, si l'on veut progresser et améliorer la qualité de ses paroles et de ses actes, il faudra bien remonter à la source et s'occuper de son esprit, même si celui-ci est dépourvu de forme matérielle et de localisation physique - ses effets ne s'en font pas moins sentir concrètement.
S'il est relativement facile de prendre conscience des manifestations les plus évidentes du machiavélisme de notre coquin d'esprit, il est beaucoup plus délicat de se garder de ses manœuvres les plus subtiles. Quand on regarde un film plein de violence à la télévision, cela peut sembler un passe-temps anodin, mais si l'esprit s'identifie au spectacle de tortures et de meurtres qui lui est présenté, notre tendance à la cruauté risque d'en être renforcée, à notre insu.
Il est probable que, jusqu'à présent, nos activités et nos paroles ont pour la plupart été inspirées par un esprit égoïste et égocentrique devenu d'autant plus fort et puissant qu'il n'a rencontré aucune opposition de notre part: qu'on ne l'ait pas voulu ou qu'on ne l'ait pas pu. On est peut-être pas encore très convaincu actuellement de son existence, mais un jour ou l'autre il faudra bien se rendre à l'évidence, aller débusquer ce dictateur et se confronter à lui. Il faudra l'assumer et apprendre à le gérer tel qu'il se présentera à nous. On pourra lui dire: «Eh toi ! Ça fait trop longtemps que tu me domines, que tu conditionnes mon corps et mes paroles. Tu m'as fait assez de tort et de mal. Maintenant, c'est moi qui vais te dompter!» On ne fera aucun réel progrès tant qu'on n'aura pas renoncé à son ego ou qu'on ne l'aura pas transformé. Cette tâche accomplie, en revanche, les choses se mettront à bouger dans le bon sens. La méditation peut contribuer à ce processus en nous donnant le recul nécessaire pour y voir plus clair. En méditant, on commencera à comprendre ce qu'est l'esprit et comment il fonctionne, tant en lui-même qu'à travers ses moyens d'expression que sont le corps et la parole.
Jusqu'à présent, nous avons envisagé le corps, la parole et l'esprit séparément. En réalité, ils sont évidemment interdépendants et le voyage spirituel n'aura pas lieu s'ils n'avancent pas tous les trois ensemble. Il faudra donc travailler simultanément à trois niveaux, s'efforçant de gommer tout ce qui peut avoir un effet négatif ou nocif, et au contraire d'augmenter tout ce qui peut être positif ou bénéfique pour soi et pour les autres. C'est la compassion qui assurera la coordination du corps, de la parole et de l'esprit vers un but commun. Elle leur servira de moteur et unifiera leurs dynamiques, de sorte que corps, parole et esprit agiront et évolueront toujours en harmonie, à tous les niveaux.
Les exercices présentés dans la deuxième partie de ce livre sont destinés à donner une base pratique à ce travail. Quand on aura progressé dans la purification du corps, de la parole et de l'esprit, on pourra peut-être aller un peu plus loin, et se rendre compte qu'ils sont en réalité dépourvus de substance propre et d'existence indépendante. On comprendra que le corps est comparable à un arc-en-ciel, la parole à un écho, et l'esprit à une image reflétée dans l'eau. Mais il faudra bien sûr pas mal travailler avant d'en arriver là... "
Par Arya Akong Tulku Rinpoché
Source: L'Art de dresser le tigre intérieur - Une thérapie pour vivre au quotidien (Arya Akong Tulku Rinpoché) - Editions: SAND et http://www.centre-equilibre.com/
Notes:
Akong Tulku Rinpoché est né en 1939 près de Riwoché dans la région du Kham au Tibet. Il a été reconnu comme la réincarnation du 1er Akong, l'abbé du monastère de Dolma Lhakang (à Chamdo) par le 16e Karmapa. Il passa ses 20 premières années à la tête du monastère de Dolma Lhakang. Il y reçut de Sechen Kongtrul Rinpoché la transmission des enseignements des lignées Kagyu et Nyingma et de docteur en médecine tibétaine traditionnelle. Il poursuivit sa formation spirituelle sous la supervision du 16e Karmapa, qui lui décerna l'autorité d'enseigner la médecine tibétaine traditionnelle.
mer.
13
déc.
2017
« Les gens qui ont peur sont ceux qui sont capables d’un immense Amour. La peur est un aspect négatif de l’amour. Si on ne laisse pas l’Amour se déployer, il devient la peur. Si on laisse l’Amour se déployer, la peur disparaît. C’est pourquoi c’est seulement dans les moments d’Amour qu’il n’y a pas de peur. Si vous aimez une personne, soudain la peur disparaît. Les amoureux sont les seules personnes qui ne connaissent pas la peur. Même la mort ne crée pas de problème. Seuls les amoureux peuvent mourir dans un immense silence et sans aucune peur.
Cependant, plus vous aimez, plus vous ressentez la peur. Les femmes ressentent davantage la peur que les hommes, car elles ont davantage de potentialités d’amour. Dans ce monde, il y a très peu d’opportunités d’actualiser votre amour. Il rôde donc autour de vous. Et si une potentialité demeure latente, elle tourne en son opposé. Elle peut devenir de la jalousie, cela fait également partie de la peur. Elle peut devenir de la possessivité, cela fait également partie de la peur. Elle peut même devenir de la haine. Soyez donc de plus en plus aimant. Aimez d’un amour inconditionnel et aimez d’autant de manières possibles. On peut aimer de millions de manières. On peut aimer un simple étranger passant dans la rue. On peut juste ressentir de l’Amour pour lui et poursuivre son chemin. Parler n’est même pas nécessaire. Il n’est pas nécessaire de communiquer. On peut simplement le ressentir et poursuivre son chemin. On peut aimer une pierre. On peut aimer les arbres. On peut aimer le ciel, les étoiles. On peut aimer un ami, son mari, ses enfants, son père, sa mère. On peut aimer de millions de manières.
Souvenez-vous que le fait d’être brave ne signifie pas que vous êtes sans peur. Si quelqu’un est sans peur, vous ne pouvez pas le qualifier de brave. Vous ne pouvez pas qualifier une machine de brave ; elle ne connaît pas la peur. La bravoure n’existe que dans l’océan de la peur. La bravoure est une île dans l’océan de la peur. La peur est là. Pourtant, on prend le risque : c’est de la bravoure. On tremble, on a peur d’aller dans l’obscurité. Pourtant, on y va. En dépit de soi, on y va. Voilà ce que signifie être brave. Cela ne signifie pas que l’on n’a pas peur. Vous êtes plein de peur, mais la peur ne vous domine pas pour autant ; La plus importante question se pose quand vous rencontrez l’Amour. Alors, la peur s’empare de votre âme, parce qu’aimer signifie mourir ; mourir en l’autre.
C’est une mort_ et une mort bien plus profonde qu’une mort ordinaire. Dans la mort ordinaire, seul le corps meurt. Dans la mort de l’Amour, l’égo meurt. Il faut beaucoup de cran pour aimer. Il faut être capable d’y aller en dépit de toutes les peurs qui vocifèrent autour de vous. Plus le risque est grand, plus la possibilité de croissance est grande. Ainsi, rien n’aide davantage un homme à grandir que l’Amour. Les gens qui ont peur d’aimer restent infantiles ; ils restent immatures, ils ne mûrissent pas. Ce n’est que le feu de l’Amour qui vous fait mûrir. »
Osho "Le Courage, la joie de vivre dangereusement"
sam.
25
nov.
2017
" Nous vivons dans un monde qui a besoin de héros et de vedettes . C'est un monde où les extrêmes sont à l'honneur et qui vénère l'extraordinaire et le grandiose au profit de l'innocence et de l'équilibre .
Reconnaître que la recherche de l'extraordinaire est bien peu de chose et qu'elle peut devenir une prison, comparée à l'ampleur vibratoire de sa nature essentielle, est un long parcours qui demande de la bienveillance envers soi et l'usage juste du point 0 - de l'unité -
Les désirs et les besoins liés à notre TOUT INDIVIDUALISÉ sont à la fois intuitifs et songés . Ils s'accordent à notre nature profonde plutôt qu'à une extravagance intérieure . Une personne essentielle est authentique et s'ajuste aux exigences du moment présent tout en essayant de vivre en accord avec sa fréquence .
Elle n'est pas préoccupée par les tendances à la mode et elle peut profiter de tout ce qui l'entoure, mais c'est la relation qu'elle entretient avec sa voix intérieure et ses valeurs profondes qui mène ses actions . En demandant l'expression juste en manifestation de notre TOUT INDIVIDUALISÉ, nous deviendrons abondants sans que l'égo, avec ses plans grandioses et épuisants, régisse cette manifestation .
"Tout est divinement naturel pour l'homme opérant dans son véritable domaine"
La vie des Maîtres, Baird T. Spalding
Nous avons une spécialité naturelle qui résonne à la fréquence de notre Essence . Si nous décidons de l'ancrer, nous pourrons nous réaliser pleinement . En choisissant des projets qui résonnent avec notre véritable domaine, nous nous assurons un futur juste et bon, en accord avec notre TOUT INDIVIDUALISÉ et le plan d'expression de notre Âme centrale . Malgré les embûches, quand un projet est sur la bonne voie, le sentiment de paix persiste .
Quand un projet est désaligné, il incite à la tension, aux chicanes, au stress et à la panique . L'égo est géré par l'appât du gain et l'excès, tandis que l'Essence et l'Amour de soi le sont par l'attrait de l'expression justes de leurs fréquences . Dans certaines conditions, nous avons très peu tendance à nous écouter . Nos actions sont caractérisées par l'excès de pôlarisé à travers lequel nous ne pouvons reconnaître les limites de de nos ressources et les accepter au point 0 -dans l'unité .
Quand nous sommes sur la mauvaise voie quantique qui ne résonne pas avec notre nature Essentielle, nous sommes anxieux, nous devons pousser, insister et chaque pas en avant s'accompagne d'un pas en arrière . Nous devons alors nous arrêter et nous ramener à l'innocence et à la modestie grandiose de notre TOUT INDIVIDUALISÉ . Car le TOUT INDIVIDUALISÉ, pour s'incarner de façon consciente dans la nouvelle fréquence actuelle, recherche la voie du Coeur . L'expansion et la manifestation de l'abondance à tout prix ne sont pas toujours Essentielles . La modestie essentielle est riche et elle vibre, elle est confiante et sereine . Si nous demandons, nous recevrons, mais pas à n'importe quel prix et pas sur n'importe quelle fréquence . " Kishori Aird
Sugar and spice and everything nice…
A powerful photo series smashes through those age-old expectations by depicting little girls as they truly are: Brave, joyful, defiant, curious. And even a little bit messy.
Kate T. Parker is an acclaimed Atlanta-based photographer, but she’s also the mother of two young girls. It’s that last role that inspired her beautiful and aptly titled collection, “Strong is the New Pretty.”
“I wanted to celebrate these girls as they are, not how females are expected to be. I wanted to celebrate them, just as they are, and show them that is enough. Being pretty or perfect is not important. Being who they are is,” Kate says, adding, “There’s a lot of pressure for girls (and women) to look a certain way, act in certain manner, and I wanted to let my daughters know that who they naturally are is enough.”
Take a look…
The intent of the collection isn’t to pigeon-hole all girls as tomboys and athletes, just as it’s not meant to dismiss outright pink and princesses. Kate says she just set out to show that little girls can’t be forced to fit the confines of a single cookie cutter mold. They are mermaids and skateboarders and everything in between. They are whoever and whatever they want to be.
“If your daughter is obsessed with pink, princesses, and ballet, amazing! Or if she is a soccer playing, tough-as-nails bookworm, great!” Kate tells PopSugar. “Allow your girls to be who they are, whatever that is. Create an environment for them to feel secure and confident in their own selves. Let them know that whatever it is, whoever they are, that’s OK. And not only [is it] OK, it’s great.”
As a mom to two little girls myself, I could not agree more.
My daughters are the ones in the well-worn leggings and mismatched rain boots. They’re the ones with a soccer ball permanently at their feet and pirate tattoos plastered on their forearms. They’re also the ones who waltz together across the kitchen floor wearing feather boas and who paint shaky coats of sparkly pink polish on their nails.
I want them to be all of these things, and I tell them that in as many ways as I can. I also tell them, though, to pick a pretty dress for special family dinners. I’m guilty of surreptitiously shoving pink hair bows above their ears on the way out the door.
Those stereotypes are hard to shake, but “Strong is the New Pretty” is a beautiful reminder to let our girls know that they are enough, that they are just right, exactly as they are.
Thank you to Kate T. Parker for sharing this project with us. Be sure to visit her web site and Facebook to see more of her wonderful work.