MANTRA POUR L’ÉNERGIE FÉMININE: BHAND JAMMEE-AI
Source : Blog Adishakti : Isabelle Silvagnoli : http://adishakti.tumblr.com/post/113090663061/mantra-pour-lenergie-feminine-bhand-jammee-ai-il
Il est recommandé de se centrer et d’amener le calme en soi afin de chanter ce shabad 11 fois chaque jour pendant 40 jours :)
Avec ce shabd nous pouvons développer de la révérence et du sacré dans les relations avec les femmes. Il enlève les phobies et la colère envers la mère. C’est un belle prière à réciter pour s’ouvrir à l’énergie féminine divine. Pour un homme, elle peut être utilisée pour élever sa communication avec la Femme dans sa vie.
C’est aussi quelque chose de spéciale qui peut être fait pour son partenaire ou épouse. Les paroles sont très humbles. Elles ne laissent place à aucune excuse pour de mauvais traitements ou pensées en relation avec une femme et permet à l’homme de voir et de traiter les femmes avec des manières élevées que le poème décrit. De la même façon que de nombreuses femmes récitent la prière « Sopurkh » pour l’Homme et les hommes dans leur vie, les hommes peuvent réciter cette prière « Bhand Jamee-ai » pour une femme
.
Quand une femme récite cette prière, elle lui donne puissance et dignité, qui sont ses droits de naissance. Avec la méditation Sopurkh, c’est un shabd de base pour les femmes pleine de grâce qui veulent que leurs prières bénissent leurs relations, leur famille et leur monde. Dans la prière quotidienne des Sikhs, Ardas, il est dit qu’avant de méditer sur un des Gurus, chacun doit d’abord méditer sur la puissance première féminine. En d’autres mots, le féminin divin est la porte pour atteindre le Guru. Sans honorer cela, il est très difficile d’y parvenir.
Les Gurus savaient cela et l’ont enseigné. Sans la douceur, la gentillesse, l’amour, la force et la sagesse de féminin divin, ne vous embêtez pas à continuer le reste de cette prière. Méditez sur cela d’abord, ensuite méditez sur les Gurus. C’est ainsi dans la vie. Jusqu’à que l’on puisse honorer le féminin divin, de nombreuses portes sont fermées. En honorant le féminin divin, les portes s’ouvrent…
Bhand jammee-ai bhand nimmee-ai bhand mangan veeaa-hu.
Bhandahu hovai dostee bhandahu chalai raahu.
Bhand moo-aa bhand bhali-ai bhand hovai bandhan.
So kio mandaa aakhi-ai jit jameh raajaan.
Bhandahu hi bhand oopjai bhandai baajh na ko-ay.
Naanak bhandai baahraa ayko sachaa so-ay.
Jit mukh sadaa salaahee-ai bhaagaa ratee chaar.
Naanak tay mukh oojalay tit sachai darbaar.
D’une femme, l’homme est né ; dans la femme, l’homme est conçu ; à une femme il est engagé et marié.
La femme devient son amie ; par la femme, les générations futures arrivent.
Quand sa femme meurt, il cherche une autre femme ; car à la femme il est attaché.
Alors pourquoi la dire mauvaise ? D’elle sont nés les rois.
De la femme, la femme est née ; sans la femme, il n’y aurait personne.
O Nanak, seul le Vrai Seigneur est sans femme.
Cette bouche qui prie le Seigneur continuellement est bénie et belle.
O Nanak, ces visages devraient être radiants dans la cour de Vrai Seigneur
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